› Cuisine, Art, Politique et Compagnie › Politique (politique, géopolitique, économie, écologie – articles, documentaires, conférences, docs dédiés à cette « thématique » – Partie réservée à une ligne éditoriale en accord avec certains idéaux) › Politique générale, géopolitique, économie, écologie › Le rendez-vous du vendredi › Répondre à : Le rendez-vous du vendredi
Bonjour,
c’est probablement vain de l’exprimer ici, à nouveau, mais dans l’idée du sorte d’exutoire politiquement engagé, de vous exprimer certaines préoccupations, le réchauffement climatique avec le souci pour la cause animale est le genre de sujet qui risque d’être toujours d’actualité jusqu’à la fin de nos vies. Comme déjà dû l’écrire.
Bref, ce qui m’amène à de nouveau vouloir en « parler » et insister dessus, c’est encore et toujours l’impression que la plupart sous-estiment la gravité, comme si de rien n’était. Et les messages d’alertes tels que ceux du directeur du « Climate Emergency Institute » qui me semblent crédibles quant à la situation critique.
Alors je ne vais pas encore et toujours vous inviter à lire et regarder les mêmes docs pour de l’argumentaire, surtout évoquer pour aujourd’hui la réflexion qui m’y a ramené :
– les réactions suite à la réélection du maire à Londres, dont de nombreuses publications d’un compte soi-disant dédié à un fil « d’actualités internationales » mais qui n’évoque jamais la thématique du réchauffement climatique, tout au plus l’évocation de tragédies lors de déchaînements d’éléments, de « l’info-consommation » à base de drames, sans faire le lien qui pourrait être fait avec les effets du réchauffement climatique et les soucis systémiques ;
– ce qui me semble être une forme d’hystérie (et d’hypocrisie) collective dans de la sphère polico-médiatique française, manifestée par une sorte de chasse aux personnalités soutenant la cause Palestinienne, telle que Guillaume Meurice en a fait les frais, avec ce qui me semble être à l’œuvre : de la mauvaise foi, un « deux poids deux mesures », de ce que dénonce l’association ACRIMED : https://www.acrimed.org/ ;
– avec aussi toute l’attention que captent ces contre les manifestations de soutien à la Palestine, alors qu’il y aurait urgence à faire cesser le massacre, la guerre, les guerres, que des instances internationales vont dans ce sens ; et puis après, si je trouve admirable toutes les mobilisations pour un cessez-le-feu, en soutien à des populations en péril, cela pourrait être l’opportunité de faire synergie entre les causes, de rappeler le lien avec d’autres urgences, des causes liées dans le cause à effet ;
Et au passage, si je n’ai pas fait une étude poussée de ces médias, que je n’ai pas fait une veille médiatique comme ACRIMED le fait, surtout vu des extraits d’émissions commentés par des activistes, il me semble qu’ils (les médias critiqués) ont en commun d’aussi maltraiter le sujet « réchauffement climatique », la cause animale et sociale. Ce qui renforce mon impression qu’il faudrait une convergence des causes, une synergie de militance, si je puis dire. Dans l’esprit de ce que propose « Révolution Écologique pour le Vivant ».
Ceci dit, avant d’expliciter un peu au sujet de l’urgence climatique et des soucis et potentialité de causes à effets, du point de vue holistique, je suis assez perplexe face aux calomnies, discours d’opposition et répressions en France contre celles et ceux qui alertent sur la tragédie que subissent les Palestiniens, se mobilisent contre.
On pourrait faire le rapprochement avec aussi le mauvais traitement d’autres sujets, analyser des mêmes raisons, toujours est-il qu’en l’occurrence, ce qui me semble assez flagrant dans le « deux poids deux mesures », en plus de ce que dénoncent des instances internationales, c’est les déclarations d’anciens présidents français, à l’époque d’où ils étaient présidents, en soutien à la Palestine, versus des discours, les répressions et calomnies contre des soutiens à notre époque. En dehors de la critique qu’on pourrait faire de la politique que ces anciens présidents ont mené, qui fait que j’irais pas jusqu’à considérer que ceux d’il y a plus d’une décennie seraient à « glorifier » de par là, l’histoire des qui se font du souci pour la Palestine a retenu de leur courage dans leur prise de position.
Et on pourrait aussi évoquer la contradiction entre les discours et les actes à notre époque (et pas qu’à notre époque, mais bon), le fait que des politiciens aient reconnu des crimes de guerre et avaient évoqué une opposition à l’invasion de Rafah mais n’aient finalement rien fait. Ou rien pu faire ? Et qu’il continue d’être réprimé des manifestations de soutien à la Palestine, y compris en Israël.
Bon, certes, il y a question de la menace de cesser de fournir des armes, mais ce n’est pas une opposition claire et ferme, et pendant ce temps, à l’heure où j’écris ces lignes, Rafah continue d’être bombardée, des images dramatiques diffusées, il semble que le massacre continue à Gaza.
Et je me suis demandé si c’était de la culpabilité de la France, dans « l’inconscient collectif », tel un égrégore impactant sur le plan « politico-médiatique », vis à vis des parts sombres de son histoire, ainsi que si c’était du fait de la dette morale envers la population juive qu’ont nombreux pays occidentaux, comme on pourrait considérer qu’il y en a envers des pays de l’Afrique, les pays qui ont été colonisés, envers des populations d’humains ainsi qu’envers les animaux non humains.
Si ce n’est qu’on a creusé et est en train de creuser une « dette morale » aussi envers la Palestine, il me semble. Et d’aucuns contestent que le passé ne peut justifier le présent, situation présente, « crimes de guerre » considérés injustifiables de toutes façons. Et puis les bombardements ne mettent-ils pas aussi en péril, en danger, la vie des otages ? Peut-être pensent-ils qu’ils sont ailleurs ?
Toujours est-il que si d’aucuns n’ont peut-être pas bien fermement condamné les morts et la prise d’otage par le Hamas, la situation actuelle fait que de quoi considérer qu’il y a injustice envers la Palestine et de leurs soutiens, tel que le considère ce député David Guiraud :
« 🇵🇸 Le jour anniversaire de la liberté de la presse dans le monde, l’incapacité du gouvernement à dénoncer clairement les atrocités perpétrées par l’armée israélienne contre les journalistes le rend complice du drame.
Et ce pendant qu’en France, on censure ceux qui s’opposent au génocide. Qu’il est triste ce service public, qui se dit Charlie mais qui bâillonne la bande à Charline.
On se croirait dans un sombre cauchemar au pays des Lumières, mais c’est une triste vérité, ceux qui contrôlent les matraques cherchent souvent à faire taire ceux qui ont des idées. »
Source : https://twitter.com/GuiraudInd/status/1787849496598089737
Et qu’un exemple de ce qui contraste avec le gouvernement :
« Espagne versus France :
INFO : La ministre de l’innovation d’Espagne, Diana Morant, sur les manifestations dans les universités et la guerre à Gaza « En tant que ministre des Universités, je dois montrer ma fierté envers les étudiants qui ont un esprit critique, l’exercer et le transmettre à la société » »
Source : https://twitter.com/CaronAymericoff/status/1788120924052422951
Et quand on voit une vidéo du Premier ministre israélien dans les années 80 où il est présenté « affirmant qu’Israël possède et contrôle les États-Unis, y compris son gouvernement », ceci expliquerait les pressions sur la CPI, et cetera, et de quoi se demander si certaines injustices en France ne prennent pas leurs sources dans ce même genre « d’alliance ».
Après, contre les calomnies contre les pro-Palestiniens, pour ne pas attiser l’antisémitisme qui est condamnable et ferait d’une certaine façon le jeu du sionisme, peut-être que stratégiquement, si pas encore fait, il devrait être songé à un rapprochement avec « L’Union juive française pour la paix » : « À Paris, rassemblement en soutien au peuple palestinien » : https://ujfp.org/evenements/a-paris-rassemblement-en-soutien-au-peuple-palestinien/
développer avec eux une « stratégie médiatique » pour faire taire les accusations calomnieuses,
cf. le dossier : « La lutte résolue de l’UJFP contre l’antisémitisme » : https://ujfp.org/la-lutte-resolue-de-lujfp-contre-lantisemitisme/
et faire porter la voie de la cause Palestinienne en France en évitant les répressions, ou au moins en démontrant aux yeux de tous que les accusations d’antisémitisme ou autre qualificatif « pas glop » relèvent d’un non sens, de la mauvaise foi, voire d’une complicité des calomniateurs avec des « pas glops ».
Ceci expliqué, concernant l’urgence climatique, peut-être est-ce encore pour vous de l’exagération, du catastrophisme, une forme d’hystérie, mais avez-vous pris le temps de lire, d’écouter, de regarder de ce que je vous ai suggérés ?
Car même si nous avons une certaine capacité d’adaptation, quand vous êtes cuits, vous êtes cuits ; quand vous êtes noyés, vous êtes noyés ; quand vous êtes sur un volcan qui explose, vous êtes explosé ; quand il y a extinction de masse d’espèces, dont des butineurs, des robots butineurs ne pourront peut-être pas être suffisamment déployés, et puis stress hydrique et stress thermique impactent les rendements, et de cause à effets les risques de famines renforceraient les conflits, et cetera.
Et bref, si pas encore lu : « Top 40 des impacts du changement climatique » : https://climatecasino-net.translate.goog/2021/10/top-40-impacts-of-climate-change/?_x_tr_sl=en&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=wapp
Et le rapport entre les réactions suite à la réélection du maire à Londres et la préoccupation pour le réchauffement climatique, c’est pas pour critiquer le choix de maire. Les électeurs ont probablement bien choisi.
Reste que j’ai (ré)appris il y a quelques temps qu’une bonne partie de Londres pourrait être inhabitable, sous les eaux, dans quelques décennies, dans moins longtemps qu’il avait été théorisé avec les données mises à jour, comme de nombreuses autres villes, zones pour le moment émergées, dans le monde.
D’aucuns ont contesté, ergoté sur le surnom du glacier Thwaites, surnommé le « glacier de l’apocalypse », mais si c’est peut-être un peu exagéré en tant que tel, je pense qu’il peut être considéré comme un repère d’une forme « d’apocalypse », que vivent déjà dans une certaine mesure des populations.
Aussi, si il faut savoir aussi vivre l’instant présent, ne pas mésestimer l’importance de causes à défendre à notre ère, ne pas les délaisser via des politiques à mener, nous n’avons pas forcément le luxe d’attendre de se préoccuper des conséquences en se disant que nous pourrons nous adapter.
Aussi, donc, il me semble qu’il faudrait en prendre acte, ne plus tergiverser, et que nombreux scientifiques spécialistes du climat sont de plus en plus alarmistes, considèrent que les politiques des pays les plus pollueurs sont toujours loin d’être à la hauteur, que collectivement il y aurait beaucoup à faire (généralisation de l’alimentation végétalienne, du véganisme, mise en place d’une économie favorisant de la « démocratie économique », n’aspirant pas à de la croissance par principe, ayant des principes éthiques, écologiques en moteur) et à ne pas faire (dont cesser des pollutions, dont fin de l’utilisation des combustibles fossiles pour l’énergie).
Ce qui me fait penser à des vidéos d’un jeune journaliste qui critiquait la plupart des journalistes d’être mal informés et de mal informer sur ce sujet. J’ai dû partager une de ses vidéos au cours du message du 22 décembre, ainsi que sur ce fil de réflexions dédiées au réchauffement climatique :
« Urgence – info climat – Le saviez-vous ? – Et cetera brèves » : https://www.cuisine-art-politique-et-compagnie.com/forums/sujet/urgence-info-climat-le-saviez-vous-et-cetera-breves/
Mais comme l’a expliqué Aurélien Barrau face aux membres du medef, ce n’est pas le seul problème « écologique / environnemental », aussi, je ne vais pas insister en relayant à nouveau le propos de ce jeune journaliste. Si vous n’aviez pas pris le temps de l’écouter et que vous voudriez l’écouter maintenant, cf. le message du 22 décembre.
En tout cas, il n’en reste pas moins qu’il y a le souci du réchauffement climatique, des conséquences, et qu’il faudrait se mobiliser aussi pour ce genre de sujet, de souci.
Ce qui me fait penser à des propos du capitaine Paul Watson dans son livre manifeste « Urgence ! Il faut sauver les océans », tels que de cette citation réflexion qui y figure, si je me souviens bien :
« Ne soyez jamais déprimé ou pessimiste à propos de l’avenir. Vous n’avez aucun pouvoir dans le futur. Vous n’y existez pas encore. Vous n’existez que dans le présent. Votre pouvoir est dans le présent. C’est ce que vous faites aujourd’hui qui façonnera l’avenir » – Capitaine Paul Watson
Source : https://www.instagram.com/p/C5tOwpnKNUA/
Et dans ce présent, je pense que nous devrions peser de tout notre poids collectif pour la prise en compte du réchauffement climatique, et cetera, pour des politiques, de l’économie adaptées autant que faire se peut ; la généralisation du végétalisme ; l’application à des idéaux de l’antispécisme, de la Zoopolis, et cetera.
Et donc s’appliquer à une convergence des luttes, des causes.
Un peu comme le font Greta Thunberg et de ses pairs avec des affiches pour diverses causes lors des manifestation, incluant le souci pour le climat, la Palestine et le Congo, entre autres : https://www.instagram.com/p/C6gAqCVil3e/
Si ce n’est en y ajoutant d’autres causes telles que le véganisme, l’antispécisme, qui ne me semblent pas figurer sur leurs pancartes, pas être de leurs revendications affichées.
Et à propos de souci pour la Palestine et paradigmatique, il lui manque à lui aussi, de mon point de vue, la préoccupation pour la cause animale, l’encouragement à la végétalisation, au véganisme, la philosophie antispéciste, l’aspiration à la Zoopolis en « corde à son arc de pacifiste », mais si pas encore pris le temps de l’écouter, je vous suggère d’écouter « L’esprit du temps de Gaza » avec Peter Joseph et Abby Martin (pour la vostfr, activer sous-titres, cliquer sur l’engrenage, puis sur « Traduire automatiquement » et puis sur « Français ») : https://www.youtube.com/watch?v=RoMuEBcusSk
Bref, j’ai conscience que c’est plus facile à théoriser qu’à s’appliquer à de la solution, mais j’espère qu’au moins vous aurez compris mon avis, pourquoi je pense qu’il y a urgence, des gravités, que je trouve crédibles les alarmistes, qu’il ne faudrait pas attendre pour bien faire, telle que mise en place d’une « convergence » des luttes, de sensibiliser autour, de la Palestine au climat, en passant par la cause animale, la philosophie antispéciste.
Et dans ce qui rend compliqué de passer de la théorie à la pratique, qu’il y a ce qu’il faudrait faire et la tendance qui ne va pas dans ce sens, j’ai aussi conscience du souci des préoccupations quotidiennes, des galères, des soucis de tout un chacun, ainsi que des diversions.
Le genre de trucs qui fait que nombreux alarmistes sont devenus catastrophistes, des « doomeurs », à force de s’informer, de se tenir au courant de l’évolution, de tenter de sensibiliser les autorités et le public et de constater le chemin pris par la civilisation qui semble ne pas en prendre acte.
A ce propos, pour la petite histoire, avant-hier, j’ai consulté des publications qui m’ont semblé refléter une certaine inconscience, un captage d’attention dans les diversions, et relever d’une certaine « indécence » compte tenu des morts en Palestine et du risque de l’usage du nucléaire dans la guerre entre la Russie et l’Ukraine Otan :
l’utilisation du terme « Jour de guerre » pour le soutien à une équipe sportive, un élément de langage de « va-t-en-guerre ».
Vous trouverez peut-être que c’est une simple maladresse, une blague de fans qui n’engagent qu’eux, sans conséquences, et peut-être est-ce récurent, au sens d’annuel quand des grandes rencontres, et un tort de l’analyser en préjugeant, mais j’y vois l’impact d’une ère de conflits, qu’ils entretiennent de la sorte. Et qu’ils servent de la sorte l’intérêt d’un système contestable. Avec la critique qu’on peut faire des compétitions qui exacerbent le chauvinisme, l’instinct grégaire, source du hooliganisme.
Au passage, digression : j’ai lu il y a quelque temps une publication vantant l’ouverture d’esprit de Poutine :
« Les pays comme Israël, l’Ukraine, la France ou les USA sont les bienvenus aux Jeux des BRICS en Russie.
A la différence des JO2024, le Président Poutine ne mélange pas sport et politique. L’Iran, la Chine, l’Inde, le Brésil et d’autres ont déjà confirmé leur présence. »
Que j’ai trouvé très contestable : les compétitions « politisent » les jeux, le sport, les « jeux olympiques » ne sont pas un moment de franche camaraderie. Et la seule façon de ne pas mélanger sport et politique, il me semble que cela serait de s’amuser sans faire le « jeu » de sponsors, sans le jeu de l’esprit de compétition, le jeu des diversions aux soucis de civilisation, aux urgences.
Vous me direz, si vous jouez sur le concept, les mots, s’opposer à ce mélange entre « sport et politique », qui revient plutôt à vouloir rendre au terme « jeu » toutes ses lettres de noblesse, cela relève d’une intention politique. Sauf que cette intention n’est pas l’objectif. Et quand bien même cela le serait d’un certain point de vue, pour celles et ceux qui ne voudraient pas qu’il en soit autrement, qui ne voudraient rien changer au système, j’espère que vous aurez compris la logique.
Si pas bien, voir les conférences que je vous ai déjà invitées à voir :
« Conférence gesticulée : Capitalisme et Sport : jeu, set et match ! »
« Une autre histoire du sport ou pourquoi je ne serai jamais Luis Fernandez »
et « Le jeu comme outils de résistances pour contourner ou surmonter le cadre imposé »
Évoquées ici : https://www.cuisine-art-politique-et-compagnie.com/forums/sujet/conference-gesticulee-capitalisme-et-sport-jeu-set-et-match/
Fin de la digression.
Bref, j’espère qu’un cessez-le-feu sera bientôt en vigueur, que le génocide sera stoppé, que les crimes cesseront, que le « conflit » Israélo-palestinien trouvera une issue pacifique, que Gaza plus sous blocus, que les Palestiniens pourront vivre leur vie sans craindre que le ciel leur tombe sur la tête.
Et pour l’instant, je vais m’en aller faire des « Prières pour la Paix » : https://www.youtube.com/watch?v=xVk87zJWeUM&list=PLWG3MhJ7E0kiAZOzNc9-0czU5hIvYrM6_&index=1&pp=iAQB
Mais avant, je termine le message d’aujourd’hui en évoquant l’intérêt de recettes végétales pour s’assurer que des enfants réfractaires aux légumes en accompagnement, en mangent. Car il n’est pas rare que des enfants aient du mal avec les légumes et certaines recettes végétaliennes véganes sont une très bonne occasion de « filouter », leur faire manger des légumes avec un certain plaisir.
Telle qu’une recette de « steaks aux haricots rouges » :
vous mixez 500 grammes de haricots rouge cuits, refroidis, avec environ 100 grammes de crème de soja ;
puis vous ajoutez environ 230 g d’oignons (plus ou moins l’équivalent de 2 oignons), deux poivrons (ou l’équivalent en autres légumes) coupés en morceaux, du sel, du poivre et éventuellement d’autres épices, vous mixez bien le tout ;
puis vous ajoutez environ 150 grammes de farine (en ce qui me concerne, je mets environ 100 g de t110 et 50 g de farine de sarrasin et environ 12 g de gluten, mais vous pouvez mettre 150 g de la même farine) et vous remixez à nouveau ou mélangez bien le tout dans un saladier ;
vous préchauffez le four à 180 °c et faites avec la préparation 12 tas sur un tapis de cuisson, à l’aide d’un emporte-pièce, puis faites cuire environ 10 minutes ;
ensuite et enfin, faites revenir à la poêle environ 3-4 minutes chaque face des steaks végans qui seront au menu, et faites éventuellement déguster avec une sauce de tomates. Vous pourrez conserver les steaks végans restants au congélateur pour faire cuire ceux dont vous aurez besoin un autre jour, sans forcément de temps de décongélation.
Et il y a aussi des focaccias véganes où vous pouvez ajouter des légumes à la pâte, et pas mal d’autres recettes véganes.
Dans un autre genre, c’est moins intéressant pour faire manger des légumes, mais il est possible d’ajouter de la purée de légumes dans les pâtes à crêpes véganes et pancakes véganes. De même dans les Crumpets dont je vous avais mis la recette ici : https://www.cuisine-art-politique-et-compagnie.com/forums/sujet/crumpets-vegans-au-beurre-de-cacahuete-et-chocolat-ou-autre-a-personnaliser/
et où peut être remplacé les liquides ou une bonne partie des liquides par une sorte de purée de légume(s) végane. J’avais testé avec de la purée de potimarron dans les Crumpets et c’est resté appréciable pour des neveux réfractaires aux légumes en accompagnement.
Voilou pour aujourd’hui,
Merci de votre attention,
Bonne fin de semaine !