› Cuisine, Art, Politique et Compagnie › Politique (politique, géopolitique, économie, écologie – articles, documentaires, conférences, docs dédiés à cette « thématique » – Partie réservée à une ligne éditoriale en accord avec certains idéaux) › Politique générale, géopolitique, économie, écologie › Le rendez-vous du vendredi › Répondre à : Le rendez-vous du vendredi
Bonjour,
aujourd’hui, c’est la Saint-Valentin,
alors bonne Sain-Valentin.
Pas grand-chose à écrire autour de ce jour, des histoires sur l’origine, réflexions autour, que ce que déjà écrit. Cf. notamment le message du 16 février de l’année dernière : https://www.cuisine-art-politique-et-compagnie.com/forums/sujet/le-rendez-vous-du-vendredi/#post-457
Si ce n’est que je dirais que le plus beau cadeau qu’on pourrait faire à / pour l’amour, c’est celui d’une civilisation pérenne et éthique autant que faire se peut, prenant acte des soucis et idéaux. Le même à la Saint-Valentin qu’aux autres occasions où se fait un cadeau, en fait, ce qui rejoint : « Poème « Que faisons-nous ? » et réflexions pour les fêtes de fin d’année » : https://www.cuisine-art-politique-et-compagnie.com/forums/sujet/poeme-que-faisons-nous-et-reflexions-pour-les-fetes-de-fin-dannee/
Ceci écrit, j’ai mis en pratique l’intention de mutation du groupe créé évoquée vendredi dernier, la journée même. En mettant en pause les autres groupes dont je m’étais retrouvé seul admin, pour tenter de les inciter à venir dessus. Je n’en suis pas fier, car cela revient à couper le sifflet à celles et ceux qui n’ont pas envie de remettre en question de leurs préjugés, et / ou à frustrer les quelques qui y partageaient encore de temps en temps. Et probablement peu efficace au final car la plupart des groupes, même si sur certains plusieurs milliers de membres, étaient inactifs depuis pas mal de temps, voire aucun actif régulier depuis plusieurs années. Et j’ai hésité pour un groupe en particulier dont l’essence devait être la « solidarité ». Mais on va dire tous noyautés par des divergences non conciliables sans prendre le temps de débattre, pour tenter de transcender, d’apprendre des uns des autres. Sans cela, en l’état, m’a semblé sur la plupart y avoir un trop grand écart politique, sans cohérence, sans cohésion éthique, de perception des problèmes et causes. Et puis les statistiques informaient du peu de consultation. Aussi, dans ces circonstances, partager encore et toujours sur ces groupes relevait d’une sorte de syndrome FOMO (FOMO de l’anglais : fear of missing out, « peur de rater quelque chose », qui conduit à rester à l’affût pour ne pas rater une occasion d’interagir / de partager en divers groupes où pense y avoir un intérêt / possibilité de le faire) concernant les partageux. Bon, du fait de la facilité de partager sur des groupes sur des réseaux sans tellement se soucier de l’activité (la plupart sont « membres » de plus d’une 30ène de groupes), peut pas tellement / forcément le considérer comme un syndrome, et je ne suis pas pour l’idée qu’il faille se soucier de la popularité à un instant t de ce qu’on partage. Si ce n’est qu’en tout cas, même si je culpabilise un peu d’avoir « forcé » de la sorte, le peu d’activité et des divergences m’ont semblé et me semblent toujours être une bonne raison de mettre ces groupes en pause pour une durée indéterminée et d’inviter à converger sur « Cuisine, Art, Politique et Compagnie (végane anticapitaliste, antispéciste) » : https://www.facebook.com/groups/films.videos.litterature.poesie.arts.politique.eco
pour celles et ceux prêts à réfléchir à des idéaux qui tiennent à cœur.
Au passage, ce que je considère le manque de cohésion et de cohérence, les « divergences irréconciliables sans prendre le temps de débattre » sur des groupes aspirant à remettre en question le paradigme dominant me semblent refléter les contradictions et effets tels du climato-scepticisme. Où certains s’opposent en réaction à une certaine politique tout en se détournant des soucis environnementaux et de ce qui serait des fondamentaux pour une « justice sociale », faisant ainsi le jeu de la droite et l’extrême droite. Quand ce ne sont pas des séides affidés militants de ces partis, mal-informés et mal-informateurs, qui ont gobé des intox et cherchent à dessein à dévoyer des groupes « anti-système » (comprendre anti capitalisme néolibéralisme). Impression que j’en ai.
Après, re au passage, de tout cela / « de ce qui « l’excuse relativement » vient quand / du fait que » / de quoi se poser la question sur comment « faire passer le message », sensibiliser efficacement sur les réseaux.
Aussi, ainsi, j’en suis venu à me dire et vous écrire qu’en plus du fait que celles et ceux encore un peu actifs sur ces groupes prendront sûrement mal ce sorte de « coup de force », l’entre-soi d’un groupe fondé sur des principes communs non encore « normalisés » ne permet pas de (se) faire lire / entendre / comprendre auprès de celles et ceux qui n’iront pas parce que se sentent pour le moment pas en phase pour une raison ou l’autre. Donc fait deux « raisons » qui font que les gens des autres groupes s’intéresseront probablement peu voire pas à ce « groupe ».
Ce qui, le genre de façon de fonctionner, par aspiration, conduit à ce qui fait que les séides affidés militants sortent de leur « zone de confort » et ont tenté diverses stratégies de communication / de militance.
Mais je pense que le plus « efficace » et le plus « correct » est de partager en étant en cohérence avec l’essence des groupes, qu’il y ait de la cohésion, de faire convergence, et d’arriver à sensibiliser / partager des messages auprès de ses contacts qui ne seraient pas du groupe. Donc non pas tant de se servir des groupes pour tenter de convertir / convaincre, mais se mettre au service des idéaux du groupe quand fait sens à soi à s’y inscrire. Du moins, idéalement. Si ce n’est que bien entendu, c’est relatif à la thématique des groupes, quand groupes fondés, orientés, dans / pour un certain idéal. Sur des groupes généralistes tels que de poésie et de philosophie, impossible de faire cohérence d’idées de ce fait, et de quoi y partager des envolées et réflexions qui résonnent en nous, nous inspirent, cristallisent de ce qui nous a inspiré, nous inspire, mais où au-delà des divergences de goûts et de couleurs, pas forcément évident de rendre sensible aux idéaux à en faire concorde.
Bref, ce que j’ai fait avec les groupes concernés sur Facebook est probablement un peu contre-productif, ou disons pas des plus efficace « stratégiquement ». Reste que mon intention était / est de me recentrer sur de la cause qui me tient à cœur, tenter de faire converger pour un groupe avec des qui auront la curiosité ou se sont déjà informés sur le sujet et ont des affinités avec la cause animale, le véganisme anticapitalisme antispécisme zoopolis.
Re bref, vous êtes bienvenue à « Cuisine, Art, Politique et Compagnie (végane anticapitaliste, antispéciste) » : https://www.facebook.com/groups/films.videos.litterature.poesie.arts.politique.eco
Ceci expliqué, fait, je termine le message du jour en vous invitant à écouter et regarder ou lire (la vidéo peut être traduite automatiquement dans la langue de votre choix avec l’option de traduction de youtube, ou cf. la transcription après la vidéo, transcription que vous devriez pouvoir traduire avec un traducteur automatique ou via fonction de traduction de votre navigateur) l’épisode 54 du podcast « Révolution Maintenant ! » de Peter Joseph : https://www.revolutionnow.live/episode-54/
Présentation résumé : « Dans cet épisode (plus de 2 heures) de Revolution Now (épisode 54), Peter Joseph examine les complexités de la transition systémique et les limites des approches réformistes du changement, y compris une analyse critique du travail de Jason Hickel. L’épisode se termine par une conversation de 40 minutes avec Alfie Kohn sur la nature destructrice de la concurrence. Les principaux sujets abordés sont les suivants :
– Définir le capitalisme de manière cohérente et précise.
– Les fondements stratégiques du projet d’économie parallèle intégrale.
– L’importance des points de levier hors système pour conduire un changement significatif.
– Les distorsions de valeur dans l’économie de marché (échange contre usage).
– Pourquoi les comportements humains négatifs sont souvent qualifiés à tort de nature humaine.
– Les échecs courants des mouvements sociaux et les dangers de l’identité de groupe.
Et plus encore. »
Et en vous partageant l’épisode 2 de « Sur le front des urgences civilisationnelles » : « Urgences réchauffement, dont anomalies en Arctique » : https://www.youtube.com/watch?v=vaepRIIVDFE&list=PLWG3MhJ7E0kiAZOzNc9-0czU5hIvYrM6_&index=15
Ainsi que la « Pause récréative musicale improvisation » que j’ai faite hier pour inviter à diverses lectures : https://www.facebook.com/pascal.lamachere/videos/1411303086504931/
Pour la petite histoire, même si cela vient certainement en partie aussi du fait que je pratique rarement la guitare électrique depuis un certain temps, et que je n’ai pas encore pris le temps pour en jouer comme il faudrait, je dirais que la fatigue a encore joué, je ne me sentais pas du tout « dans le mood » et le passage avec m’a semblé catastrophique. Donc je dirais que pas la peine de l’écouter, à moins que vous avez du temps à perdre, que vous n’avez pas les oreilles trop sensibles et que cela vous amuse de me voir « galérer ».
Merci de votre attention,
Bonne journée,
Bonne fin de semaine.