#509
Pascal LamachèrePascal Lamachère
Maître des clés

    Bonjour,

    pour aujourd’hui, je vais vous raconter une histoire fiction. Et à la fin vous inviter à écouter, entre autres, des réflexions, des conférences.

    Aussi, j’imagine que pas besoin de le préciser pour ce qui est de l’histoire fiction, mais au cas-où, avant de commencer :

    « Toute ressemblance avec des faits et des personnages existants ou ayant existé serait purement fortuite et ne pourrait être que le fruit d’une pure coïncidence ».

    « Entre guerre et paix,
    Une fiction parodie cyniquement réaliste ? »

    Il était une fois dans une galaxie qui est la nôtre, en un lieu sur la planète Terre, un front en guerre :

    « Boom !! »

    Soldat Ukanien : « Qui va là ? »

    Soldat Pusse : « Haut les mains ! »

    Soldat Ukanien : « Ah, non, désolé, c’est moi qui vous ai en joue ! »

    Soldat Pusse : « Plus main tenant ! »

    Soldat Ukanien : « Hein ? Ben, si ? »

    Soldat Pusse : « Haut les mains !  Sinon, un autre boom va avoir lieu ! »

    Soldat Ukanien : « Cela vous fera une belle jambe en moins ! »

    Soldat Pusse : « Pas avec notre drone à précision millimétrée made in E.T., et je cours vite ! »

    Soldat Ukanien : « Sauf que là, si vous ne vous rendez pas, un sniper avec un fusil à vélocité États-Usinien vous plombera le cœur avant que vous ayez pu faire un pas dans le sens inverse ! »

    Soldat Pusse : « Si je me rends, une légion d’autres viendront, ce sera sans fin, ou presque, et puis cela vous fait quoi de savoir que Zylensky peut se balader où bon lui semble pendant que vous êtes avec nous en train de mourir au front ? »

    Soldat Ukanien : « Euh… Et vous ? Pendant que Touline et ses clones sont dans des bunkers ultra sophistiqués, et puis qu’il peut aussi visiter des pays amis sans craindre de pouvoir être arrêté, et encore moins pour sa vie ? »

    Soldat Pusse : « Euh… Eh bien… Euh… N’est-ce pas normal que les dirigeants soient à l’abri, ne craignent pas pour leur vie afin de diriger ? Et que si il devait en être pris à eux, ce serait redoublement d’attaques ? »

    Soldat Ukanien : « Da ! Mais euh… Pourquoi vous nous faites la guerre, déjà ? »

    Soldat Pusse : « Euh… Parce que l’Otin nous fait peur, et que des forces de l’ombre pas glop dans votre pays ont cherché à nuire à des Pusses à la frontière ! »

    Soldat Ukanien : « Z’êtes certain ? Et puis jusqu’où vous allez aller comme cela ! »

    Soldat Pusse : « Euh… Jusqu’à ce que nous soyons certain que la grande Pussie ne craigne rien ! »

    Soldat Ukanien : « Mais qui vous dit qu’elle craint quelque-chose ? »

    Soldat Pusse : « Des dirigeants ! Et la corruption du monde ! »

    Soldat Ukanien : « Donc, en fait, sans nos dirigeants, dans un système moins corrompu par des forces de l’ombre pas glop, nous ne nous ferions peut-être pas la guerre ? »

    Soldat Pusse : « Da ! Si vous aviez un gouvernement plus accommodant avec les plans de Touline et les Pusses, ce serait la paix ! »

    Soldat Ukanien : « Et vous, si vous ne faisiez pas la guerre, si vous aviez un gouvernement plus pacifique, vous seriez peut-être aussi en paix ? D’autant qu’en matière de corruption, à quel point êtes-vous certain que des dans la sphère de votre gouvernement servent vraiment les intérêts du peuple ? Sachant aussi qu’il faudrait prendre acte des problématiques écologiques qui concernent toute la planète. »

    Soldat Pusse : « Vous proposez quoi, alors ? Qu’on change nos gouvernements respectifs pour des plus pacifiques et des plus écologiques et éthiques ? »

    Soldat Ukanien : « Euh, oui, pourquoi pas ? Comme cela, plus de morts parmi le peuple du front ! »

    Soldat Pusse : « D’accord, faites le premier pas, et nous aviserons ! »

    Soldat Ukanien : « Ben, non, vous en premier ! »

    Soldat Pusse : « Qui me dit que vous tiendrez parole ? »

    Soldat Ukanien : « Ma nature humaine voulant la vie sauve pour les miens ?! Et ne voulant pas être complice de morts ! Et vous ? »

    Soldat Pusse : « Idem ! Un peu comme le dit le personnage de Pharlie Phaplin, son fameux discours du film « Le Tyranananèrateur » face à l’armée, pour leur donner envie d’un monde meilleur. Mais nous, c’est nous, nous n’avons pas le pouvoir de Pharlie Phaplin dans son film. Comment garantir que nous pourrons convaincre les autres ? D’autant si il y a des corrompus ? »

    Soldat Ukanien : « Euh… Nous sommes dans une impasse ? Et s’il suffisait ? Comme le chantait Véline Lion ! »

    Soldat Pusse : « Et s’il suffisait, oui, mais euh… Bon, il va nous falloir réfléchir à un plan en béton armé sans finalité d’armée si nous voulons la paix ? »

    Soldat Ukanien : « Da ! Mais aurons-nous le temps avant un autre boom ? »

    « Boom !! »

    Pendant ce temps, en un autre lieu sur la planète Terre, de leur tour secrète, après que leur pays ait été bombardé, les dirigeants de l’Itan : « Vous nous avez encore attaqués, c’est pas sympa !, aussi, nous invoquons le droit à nous défendre ! Mais ce sera une frappe chirurgicale, a pas faire trop de morts, contrairement à vous dans la bande de Piza de la Emlestine ! »

    Les dirigeants de l’Izelle : « En parfaits gentlemans, nous vous prévenons que si vous faites cela, œil pour œil, dent pour dent, nous répliquerons ! »

    Dirigeants de l’Itan : « Dans ce cas, nous répliquerons de nouveau ! Ce sera sans fin ? Aussi, vous avez conscience que ce principe, ce leitmotiv fait aussi plus de morts de votre côté ? »

    Dirigeants de l’Izelle : « Fallait pas commencer ! »

    Dirigeants de l’Itan : « C’est qui qui a commencé ? Celui qui a jeté la première pierre ou celui qui est venu se mettre devant sa trajectoire ? Pour le dire autrement : fallait pas venir coloniser de la sorte. Et même sans les colonies illégales, nous avons entendus des témoignages d’anciens soldats du Pulmuch qui en disent long sur la politique de la terre brûlée que vous avez fomentée, l’usage de pas glop. »

    Un dirigeant survivant, car expatrié, de la bande de Piza : « Et au-delà du fait qu’au final, cette justice par la peine de morts précipités, cela fait plus de morts aussi de votre côté, si on comptait tous les yeux et les dents de nos morts, sans compter les corps en cendres et les morts dans les ventres de leur mère, et ceux touchés de votre côté, c’est plus du œil pour œil, dent pour dent… »

    Dirigeants de l’Izelle : « Façon de parler, et puis pour ce qui est de mettre un terme à l’escalade, à ce propos, si vous nous attaquez encore, ce ne sera plus une réponse à la hauteur, mesurée, mais une Apocalyse ! »

    Un dirigeant survivant, car expatrié, de la bande de Piza : « Notre territoire est déjà peuplé de fantômes, c’est comme si l’apocalypse y avait déjà eu lieu, alors ? »

    Dirigeants de l’Izelle : « Là, notre menace concerne ceux qui pensent être en mesure de répliquer ! Tel l’Itan ! »

    Les dirigents de Leban : « Et que faites-vous de l’annonce de la Cour internationale de justice : La présence continue d’Izelle dans les territoires Emlestiniens occupés est illicite. Évoquant des discriminations systématiques qui peuvent relever “d’une ségrégation ou d’apartheid”, la CIJ déclare qu’Izelle est tenu d’abroger toute loi discriminatoire à l’égard du peuple Emlestinien. »

    Dirigeants de l’Izelle : « Ils sont antizelliens ! Hors notre loi ! »

    Les dirigents de Leban : « Votre loi pourrait mener à une guerre généralisée, il y aura aussi beaucoup de morts de votre côté ! Ne pourrions-nous pas nous entendre pour un cessez-le-feu et une solution pacifique ?! »

    Dirigeants de l’Izelle : « Nous planifions pour le millénaire à venir ! »

    Dirigeants de l’Itan : « La terre pourrait ne plus être habitable si cela empire, même pour les siècles des siècles, ce serait ballot, non ? »

    Un dirigeant de la bande de Piza : « Si vous posez les armes, ne mettez plus nos vies en danger, vous nous accordez le droit à pouvoir nous épanouir, nous pourrons être ensemble en paix, non ? »

    Dirigeants de l’Izelle : « Vous seriez plus tentés de mettre fin à l’Izelle ! »

    Les dirigents de Leban : « Comme qui dirait : nous devons apprendre à vivre ensemble comme des frères, sinon nous allons mourir tous ensemble comme des idiots. »

    Dirigeants de l’Izelle : « Commencez par ne plus envoyer de roquettes, déposer les armes et libérer les otages, et nous aviserons ! »

    Dirigeants de l’Itan : « Vous les premiers ! »

    Dirigeants de l’Izelle : « Non, vous ! Sinon, boom, badaboum ! »

    Un dirigeant de la bande de Piza : « Vous voulez qu’on libère des otages dont vous avez mis la vie en danger, voire même tué certains au cours de vos bombardements ? Si vous vous souciez d’eux, vous auriez procédé autrement, non ? »

    Les dirigeants de l’Izelle : « Antizelliens ! »

    Un dirigeant de la bande de Piza : « C’est celui qui dit, qui est ! Et puis si c’est celui qui en tue, qui est aussi, vous l’êtes doublement ! »

    Dirigeant Maçon : « Du calme, les enfants ! Ben d’ Izelle et compagnie, nous sommes pleinement solidaires avec votre pays, le terrorisme de vos opposants n’est pas acceptable ! »

    Un dirigeant Emlestinien : « Vous avez vu toutes les explosions et les morts dans la bande de Piza ? Qui terrorise qui, actuellement ? »

    Dirigeants de l’Izelle : « Fallait pas nous chercher ! »

    Un dirigeant Emlestinien : « On vous cherchait pas, c’est vous qui êtes venus ! »

    Ben d’Izelle : « Antizellien ! »

    Les dirigents de Leban : « Et que faites-vous de l’annonce de la Cour internationale de justice ? »

    Dirigeant Maçon : « J’allais y venir, nous sommes aussi solidaires avec le Leban. Ben d’Izelle, ce serait bien que vous ne touchiez plus au Leban ! »

    Ben d’Izelle : « Certains d’entre eux sont acoquinés avec des terroristes de la bande de Piza et de l’Itan ! »

    Dirigeant Maçon : « Vous mettez la condition d’existence de tous en danger, ce n’est pas acceptable ! Nous allons devoir cesser les livraisons d’armes si vous n’êtes pas prêts aux prémices de la paix. »

    Ben d’Izelle : « Nous y serons prêts lorsque nous serons certains que plus aucun ne cherchera tôt ou tard à nous nuire ! »

    Dirigeants de l’Itan : « C’est chaplinesque ! On se croirait dans Minority Report. On pourrait en penser que vous nous accusez de pouvoir chercher à vous nuire afin de tenter de mener à bien votre plan colonial ! Vous avez fait tellement de dégâts dans la bande de Piza, et maintenant au Leban. »

    Dirigeant Maçon : « Je maintiens que nous sommes solidaires avec Izelle, mais aussi avec le Leban ! Aussi, plus d’armes si vous continuez de massacrer à tout-va ! »

    Ben d’Izelle : « Antizelliens ! Notre armée est la plus éthique du monde ! Nous prévenons les populations pour qu’elles puissent fuir avant de frapper ! »

    Dirigeant Maçon : « Ce n’est pas ce que disent des témoignages publiés par le journal Le Ronde, des témoignages de gens de votre armée ! »

    Ben d’Izelle : « Des traitres antizelliens ! »

    Dirigeant Maçon : « Dans vos rangs, comme est-ce possible ? »

    Ben d’Izelle : « Antizelliens ! »

    Dirigeants de l’Itan : « Le disque est rayé ? »

    Un dirigeant Emlestinien : « Et puis, n’est-ce pas une autre aporie ? Et même une certaine perversion ? Pratiquer la politique de la terre brûlée tout en essayant de faire croire que ce n’est pas le cas par des tentatives de com’, de la propagande clairement identifiable et contestable ? : avoir pour motif de combattre des terroristes, parler de prévenir les populations bombardées, les faire se déplacer, puis accuser tous d’être des terroristes en puissance et bombarder les campements des réfugiés ? »

    Les dirigents de Leban :  Et il n’a pas vraiment été répondu, pris acte de la question : que faites-vous de l’annonce de la Cour internationale de justice ? »

    Ben d’Izelle : « Antizelliens ! »

    Dirigeant Maçon : « Bon, on va s’y prendre autrement : quelles sont vos exigences pour accepter de faire la paix ? »

    Ben d’Izelle : « Stopper les antizelliens ! »

    Dirigeants de l’Itan : « Mais nous ne sommes pas antizelliens, nous apprécions même les habitants d’Izelle, du moment que vous ne tuez pas vos voisins, que vous êtes pacifique ! »

    Ben d’Izelle : « Et que faites-vous de l’envoi de roquettes ? Pour vous, c’est cela, apprécier ? »

    Un dirigeant Emlestinien : « Ce n’est pas les habitants d’Izelle qui sont visés, surtout les guerriers. Et surtout, vous avez votre dôme pour vous protéger, à la différence de vous qui prétendiez cibler les terroristes mais avez meurtri l’âme de l’humanité par votre massacre. »

    Un dirigeant de la bande de Piza : « En dehors des médias mensonges que vous avez véhiculé sur ce qui n’a jamais eu lieu, et au point où nous en sommes, vous n’avez rien à craindre de nous. »

    Ben d’Izelle : « L’Itan est une menace ! »

    Les dirigents de Leban : « Qui menace qui ? »

    Dirigeants de l’Itan : « Ne seriez-vous pas votre propre menace, à vouloir vous étendre encore et encore, à faire des colonies illégales et prétendre vous protéger ? C’est même ce qu’espèrent des Trétiens Zellionistes, pour leur propre Apocalypse qui sonnerait votre glas, qui sont de vos alliés temporaires sur le chemin mais pas pour leur fin. Et en attendant, ne parez-vous pas plutôt votre volonté guerrière sous un prétexte d’apparence de bonne raison, dont d’être en paix, qui n’est pas si bonne et pas réelle, si on y réfléchit ? Au regard de la loi du monde et du risque de vous faire avoir sur le finish, sur la ligne d’arrivée, tel au cours d’un twist, je pense que vous auriez de quoi remettre en question votre soif guerrière ! »

    Ben d’Izelle : « Antizelliens ! Et nous ne sommes pas dupes ! »

    Un dirigeant Emlestinien : « Un dupeur qui pense qu’il ne trouvera pas tôt ou tard plus dupeur que lui. Je vous dirais bien que c’est bien d’avoir confiance en soi, si vous ne cherchiez pas à nous faire couler avec vous ! Au moins, Pack dans le Thothonic a eu la classe de se sacrifier pour que Cose puisse avoir la vie sauve ! »

    Dirigeants de l’Itan : « Euh, l’histoire de Thothonic et de Cose, c’est une fiction ! »

    Les dirigents de Leban : « Fiction pour fiction, l’important n’est-ce pas la morale ? »

    Un dirigeant de la bande de Piza : « Oui, vous seriez plus inspiré de nous laisser la vie sauve, quitte à faire des concessions ! Au moins cessez votre plan de conquête ! »

    Ben d’Izelle : « Antizelliens ! »

    Dirigeant Maçon : « Bon, suffit ! En tout cas, pour commencer, retirez votre armée du Leban ! »

    Ben d’Izelle : « Sinon, quoi ? »

    Dirigeant Maçon : « Plus d’armes ! »

    Ben d’Izelle : « Chiche ? En tout cas, pour le moment, boom aux antizelliens ! »

    Les dirigents de Leban : « Aïe ! Nous ne sommes pas antizelliens ! Nous sommes juste pour que vous puissiez être en paix avec l’Emlestine. »

    Dirigeants de l’Itan : « Ben d’Izelle, si vous continuez, nous allons demander à Touline de s’en mêler ! »

    Dirigeant Maçon : « Ah, non, pas lui ! Et de toutes façons, il a fort à faire avec Zylensky ! »

    Ben d’Izelle : « Et de toutes façons, il ne pourra pas plus ! »

    Dirigeants de l’Itan : « Ne le sous-estimez pas, ne nous sous-estimez pas ! »

    Dirigeant Maçon : « Du calme, les enfants ! N’allons pas vers une guerre généralisée ! »

    Un dirigeant de la bande de Piza : « Au point où nous en sommes, si y a que cela pour nous sauver, pourquoi pas ? »

    Dirigeant Maçon : « Cela n’arrangera pas plus vos affaires ! »

    Un dirigeant de la bande de Piza : « Peut-être, mais cela ne l’empirera pas plus ? Et comme cela, vous serez vraiment solidaires avec les peuples qui meurent sous les bombes ! »

    Dirigeant Maçon : « Si, cela devrait les empirer ! Il peut toujours y avoir pire même quand on pense avoir touché le fond des abysses. »

    Un dirigeant Emlestinien : « Certes, mais comme dit, comme cela, vous serez vraiment solidaires avec les peuples qui meurent sous les bombes ! Et motivés pour pousser à la paix après d’autres boom ?! »

    Ben d’Izelle : « C’est une menace de terroriste ! Vous comprenez, maintenant ? »

    Un dirigeant de la bande de Piza : « Pas du tout ! C’est une réflexion à cœur ouvert d’êtres amers qui constatent la désolation parmi leur peuple. Nous ne souhaitons pas pour autant l’Apocalypse sur terre ! Et pour ma part, j’aimerais que toute la terre soit en paix ! Y compris avec les autres créatures, avec le monde incarné vivant. A défaut de s’aimer les uns les autres dans la paix du Trist, ne pouvons-nous pas pacifiquement nous tolérer ? »

    Les dirigents de Leban : « Nous sommes pour la paix sur terre ! »

    Un dirigeant Emlestinien : « Bien évidement, moi aussi ! »

    Dirigeants de l’Itan : « Idem ! »

    Dirigeant Maçon : « Idem ! »

    Ben d’Izelle : « Euh, pourquoi pas ? Mais comment être certain qu’il n’y aura plus tôt ou tard d’antizelliens cherchant à nous nuire ? »

    Dirigeant Maçon : « Si vous n’attaquez plus personne, que vous êtes partant pour un monde pacifique, vous ne serez sûrement plus attaqué ?! Ainsi, les antizelliens n’auront plus de raison d’être ? »

    Ben d’Izelle : « Cela me paraît trop candide au sens condescendant, mais bon, admettons. Il n’en reste pas moins qu’ils doivent d’abord faire gage de bonne volonté en cessant de nous attaquer ! En démantelant au passage les groupes armés, même désarmés. Nous aviserons ensuite ! »

    Les dirigents de Leban : « Quid de l’annonce de la Cour internationale de justice ? »

    Ben d’Izelle : « Antizelliens ! Taisez-vous ! »

    Dirigeant Maçon : « Pfff… Stop vous la jouer à la BHR ! »

    Voilou pour pour l’histoire fiction d’aujourd’hui.

    Et euh, ceci écrit, j’imagine que ce n’est pas la peine de préciser, mais si je me suis laissé aller à ce petit délire, c’est pas tant pour encourager au cynisme. Je ne suis pas adepte du leitmotiv « Je me presse de rire de tout, de peur d’être obligé d’en pleurer ». C’était surtout pour catharsis par rapport aux tragédies et contre un esprit va-t-en-guerre qui semble gagner du terrain. Encore que, plus pour illustrer ce qui me semble être une certaine « déraison ». Car il y a eu des atrocités commises qui ne peuvent ou ne devraient devenir seulement objet de peines à digérer de la sorte, pour une justice terrestre, si je puis dire, je pense.

    Vous pourrez lire la transcription sur : « La guerre avec la Chine ? » : https://melenchon.fr/2024/10/30/la-guerre-avec-la-chine/

    • Et à écouter « L’esprit du temps de Gaza » avec Peter Joseph et Abby Martin (pour la vostfr, activer sous-titres, cliquer sur l’engrenage, puis sur « Traduire automatiquement » et puis sur « Français ») : https://www.youtube.com/watch?v=RoMuEBcusSk
    • Et je vous invite à écouter cette conférence table ronde d’inauguration de l’UniREVcité 2024, conférence de Aymeric Caron et Philippe Poutou : « Antifascisme, anticapitalisme : des combats pour le vivant » : https://www.youtube.com/watch?v=AbnQSK50vKo
    • Et en fin, cette conférence de Ludivine Bantigny, Kaoutar Harchi et Élodie Vieille-Blanchard : « Féminisme, antispécisme et antiracisme : comment des luttes historiques ont réussi à s’imposer dans la société » : https://www.youtube.com/watch?v=eWV6gfC-nUI

    Merci de votre attention,
    Bonne journée,
    Bonne fin de semaine.