› Cuisine, Art, Politique et Compagnie › Politique (politique, géopolitique, économie, écologie – articles, documentaires, conférences, docs dédiés à cette « thématique » – Partie réservée à une ligne éditoriale en accord avec certains idéaux) › Politique générale, géopolitique, économie, écologie › Le rendez-vous du vendredi › Répondre à : Le rendez-vous du vendredi
Bonjour,
Y a divers sujets qui me passionnent dont j’hésitais à évoquer des thèses, ainsi que continuer une des histoires et des projets créatifs à concrétiser et vous partager au fil des vendredis. Pas encore fait pour me concentrer sur les urgences, et je ne le ferai pas non plus pour aujourd’hui pour vous raconter une histoire, une mésaventure vécue dernièrement.
Cela a commencé samedi ou dimanche de la semaine dernière. Un gros bruit, choc en provenance du toit. Et constatation des pierres, une cannette et un gros morceau de bouteille de verre cassé, du goulot, lancés dans la zone de l’arrière du jardin, par, pensait-on, trois jeunes d’une dizaine d’années rigolant de plus belle après engueulade par mon père. Je me suis dit que j’allais m’en mêler pour les intimider, en usant à un moment donné d’un appareil photo pour faire genre pris sur le fait comme preuve. Sans l’intention de faire le délateur mais pensant qu’ils y repenseraient à deux fois avant de revenir jouer les loubards. Et comme ils sont revenus lancés des projectiles, je me suis dit que les intimider plus clairement pourrait être efficace. Dans la foulée, je n’ai pas pu m’empêcher de les traiter de « petits cons » comme mon père l’avait fait quelques minutes avant. En faisant un doigt d’honneur pour faire le cake, alors qu’ils étaient en train de courir. Le genre de truc à ne pas faire, qui n’apaise pas les esprits, mais quand la part reptilien du cerveau rentre en action, difficile de le faire taire.
Au passage, un de mes grands défauts, c’est une forme d’hypersensibilité, d’avoir la pression qui monte vite dans le cerveau et de pouvoir être « hystérique ». Pas au point d’être violent en acte, mais en parole je suis capable de sortir tout un tas d’insultes quand je ne me sens pas respecté, que je me sens agressé d’une façon ou d’une autre dans mon « bon sens ». Ce qui me rassure d’une certaine façon, c’est qu’il semble bien que je ne suis pas le seul dans ce cas.
Le lendemain, peut-être parce que méprise, difficile d’être certain à cet instant, ils (ou elle ?) sont revenus à la charge, en lançant jusqu’à un gros morceaux de bout de bois.
Si j’évoque possible méprise, c’est qu’alors que je cuisinais, avec les écouteurs sur les oreilles, mon père est sorti de la maison pour aller les voir. J’ai compris que des projectiles avaient de nouveau étaient lancés, j’ai grondé en ouvrant la porte du jardin (ils lançaient les projectiles depuis un petit chemin, par dessus la haie, avec bancs çà et là, qui longe un pâté de maisons par derrière) puis je suis retourné finir ce que je faisais. Ne voyant pas mon père revenir au bout de 2-3 minutes, comme il n’est plus trop en âge de se défendre, je suis sorti voir au cas-où (peut-être trop vu de films et lu de faits divers, mais on est jamais trop prudent, même si c’est pas tant de la prudence pour le coup). Le voyant avec les jeunes non loin de lui au bout d’une rue, j’ai commencé à courir par réflexe, sans réfléchir à l’inutilité de chercher à les intimider en l’occurrence (on pourrait dire un tort de ma part), ce qui les a fait fuir.
De ce que j’ai compris en arrivant à sa hauteur, ils s’étaient un peu moqués de lui alors qu’il essayait d’établir un dialogue. Après un instant d’hésitation, je me suis mis en tête de retrouver leur piste, dans l’idée de savoir où ils habitaient et d’expliquer à leurs parents les conneries qu’ils faisaient si ils devaient continuer à lancer des projectiles sur la / les maisons, plutôt que d’alerter la gendarmerie. Comme ils étaient déjà loin, qu’il n’y avait plus de bruit pour les repérer, je suis rentré.
Quelques minutes plus tard, après débriefing avec mon père et explications de ma mère qu’une trottinette avait été laissée, n’aimant pas les situations stressantes qui durent, je suis sorti en me disant qu’ils allaient revenir pour la reprendre et que cela pourrait être l’occasion d’avoir une bonne discussion, possibilité de jouer les médiateurs.
Ce qui était très con de ma part. Car j’aurais dû me douter qu’ils avaient eu peur et qu’ils ne seraient pas revenus seuls. Et que vu mon tempérament, je devrais savoir depuis le temps que je ne suis pas fait pour jouer les médiateurs de la sorte. Si ce n’est que je me pose des questions sur l’intention, si y a pas un côté encore plus loubard des aînés, ou si y a eu vraiment méprise, et / ou part de mensonges de la part des jeunes pour que de leurs aînés s’en mêlent.
Bref, ils étaient en train de repartir vers chez eux par le sorte de camino longeant le pâté de maisons lorsqu’ils m’ont vu arriver près du banc d’où les projectiles avaient été lancés. Ils m’ont interpellés de loin à plusieurs reprises. J’ai senti qu’il y avait danger dans l’air, les voyant plusieurs, au nombre de 4, et peut-être aussi surtout dans leur façon d’interpeller. Une forme d’intuition lisant les signes de l’inconscient, pourrait-on dire. Et n’étant pas du genre tête brûlée, j’ai hésité. Mais partant du principe qu’ils n’étaient pas impliqués dans le lancer de projectiles, que cela aurait été l’opportunité de faire cesser la connerie des plus jeunes, je suis allé à leur rencontre. Autre grosse bêtise / inconscience de ma part.
Aussitôt à portée de discussion, le frère aîné a commencé par m’accuser d’avoir intimidé avec une arme le groupe de son petit frère et de l’avoir insulté « d’avoir pas de couilles », un truc du genre, et que c’était pas lui le fautif des projectiles lancés mais une jeune demoiselle, et un de ses amis à côté a commencé à me provoquer, se rapprocher de manière assez menaçante.
Le pire, si je puis dire, c’est que son petit frère m’a semblé lui-même le contredire de l’accusation. Lui dire que c’était pas moi (il accusait mon père ?). Il a continué malgré tout à être menaçant, à évoquer une arme qu’il avait sur lui qu’il était prêt à sortir. Et son ami a continué de se rapprocher semblant vouloir se défouler, se battre, sans écouter le plus jeune qui me disculpait, ni vraiment me laisser le temps de pouvoir m’expliquer.
Après, question que je me pose : c’est si mon doigt d’honneur ou l’appareil photo a été pris pour une arme de loin, ou la petite télécommande du portail à un moment donné en main (beaucoup trop petite pour être confondue avec une arme, et je crois pas l’avoir gardé en main, un doute, si c’est le cas, leur imagination leur a peut-être joué des tours), si il y a réellement eu méprise. Qu’une part des accusations sont fondées sur la méprise et non pas de la provocation. Et la vexation d’avoir été insulté de « petits cons ». Si c’est le cas, qu’il y a eu méprise, je puis comprendre que le sang du frère aîné n’ait fait qu’un tour comme moi j’ai voulu défendre mes parents, voulu empêcher qu’il y ait des projectiles qui ne soient de nouveau lancés et pouvant blesser les têtes, dont le chat de la maison et les oiseaux qui sont de temps en temps dans le jardin. Et j’imagine qu’il bluffait pour l’arme, qu’il n’avait pas réellement d’armes sur lui.
Toujours est-il qu’il a continué dans sa menace de sortir une arme et le plus menaçant de ses deux amis de réellement vouloir en venir aux poings, et probablement aux pieds et à la tête. Sans plus cherché à savoir ce qui s’était passé. A partir de là, je ne pense pas avoir eu tort de vouloir maintenir une distance entre eux et moi, si ce n’est peut-être de m’emporter verbalement après menace encore plus explicite de sa part de vouloir se bagarrer. Et pour le coup, je n’ai pas pu m’empêcher de dire aux deux aînés menaçants l’insulte qu’il m’avait accusé à tort d’avoir lancé, mais aux deux et non à son petit frère ni à l’autre de leur ami plus en retrait, tout en courant pour ne pas aller jusqu’à l’affrontement physique, et au cas-où le port d’arme, la menace par le frère de sortir une arme ne soit pas du bluff.
Une fois rentré à la maison, j’ai continué à les insulter de manière encore plus virulente, outrancière, mea culpa. Et peu après mon père a eu le courage de sortir pour calmer le jeu, jouer le rôle de médiateur. Ce qui semble-t-il a réussi à faire.
Et pour la petite histoire, au départ j’avais pensé que l’accusation sur arme sortie par moi c’était soit un mensonge des jeunes, soit une tentative de provocation, d’accusation pour inverser le rôle des agresseurs et des agressés, mais ils lui ont aussi tenu cette version, et je me suis dit en y réfléchissant qu’il y avait peut-être eu réellement méprise en prenant peut-être l’appareil photo et son objectif (sorti pour faire genre qu’ils sont pris en flagrant délit, identifiables, et décourager de revenir lancer des projectiles ; j’ai peut-être trop regardé la série « Veronica Mars » à l’époque où diffusée, déjà près de 20 ans maintenant), ou autre, pour une arme. Encore que, de gros doutes quand même que l’accusation d’avoir été menacé avec une arme ne soit pas juste un mensonge plutôt qu’une méprise, car on ne peut pas dire que je les ai menacés avec quoique ce soit, d’autant que j’étais resté assez loin d’eux. Si ce n’est que je pense à une université qui a été évacuée, en alerte attentat, truc du genre, il y a quelques temps, parce qu’une étudiante avait pris une housse de trépied pour un engin dangereux et avait contacté son père qui avait des relations, un statut dans les forces de l’ordre, si je me souviens bien, et il y avait eu évacuation par mesure de précautions avant de se rendre compte de la méprise. A l’époque où y avait eu l’attentat en Russie et la peur d’attentats en France, des menaces, où les autorités étaient sur le qui-vive.
Par contre, quand les esprits s’échauffent, si je puis comprendre que s’efface l’objectivité, et je reconnais que je n’ai pas été des plus zen verbalement, ils n’ont pas cherché à réellement comprendre ce qui s’était passé, ils n’ont pas été à l’écoute de ce que j’ai pu dire ni même des contradictions apportées par le premier concerné, et ils ont dit à mon père que je les avais « chauffés » alors que c’est clairement, que c’est objectivement l’inverse. Et que ce qu’ils ont fait c’est une forme de harcèlement, de menaces répréhensibles et de fausses accusations.
Au final, je m’en veux quand-même de m’être emporté verbalement, pour les insultes. Peut-être que si j’avais pu expliquer calmement et clairement le déroulement des faits, ils auraient cessé leurs menaces. D’autant que peut-être qu’il y a eu réellement méprise. Mais surtout je me suis questionné sur qui a été le(s) responsables des projectiles lancés et d’autres bêtises autour du banc ces derniers temps (poubelles renversées et déchirées certains jours, traces de brûlures sur du plastique). Car il y a bien eu délinquance de l’un / des uns ou de l’une, au départ. Du mal à croire que c’était la jeune fille (il ou elle s’est cru(e) dans « Harry Potter et le Prisonnier d’Azkaban », au moment où Hermione lance des projectiles sur la tête de Harry alors qu’ils sont dans la cabane de Hagrid, pour les faire sortir au moment où arrivent Dumbledore, le premier ministre de la magie et l’aspirant bourreau ?) comme l’a prétendu / accusé le jeune homme vu que ce n’est pas la seule « bêtise » qui a été commise, que c’est les enfants qu’on entendait rigoler après atterrissage des projectiles et qui fuyaient quand on sortait de la maison. Peut-être qu’elle était aussi impliquée (pour tenter d’impressionner / amuser de ses amis ?), mais certainement pas seule à lancer des projectiles. J’ai pensé, supposé.
D’aucuns diraient qu’on a eu tort de partir du principe que l’attitude de coupable signifie culpabilité, et que l’attitude d’innocence reflétait de l’innocence. On aurait dû attendre d’être certain avant de chercher à les faire cesser les lancers.
Et au final, c’est une très étrange synchronicité. Je pourrais l’interpréter comme une concrétisation de paix avec soi-même et du deuil d’une forme de « paix » d’avec le monde que j’avais écrit la veille, au cours du message de la semaine dernière. Que les pensées à un moment donné influent sur la « réalité vécue », d’une manière ou d’une autre. Même en connaissant les explications sur les phénomènes psychologiques qui nuancent les perceptions, relativisent les interprétions, quand vous vivez des « synchronicités » très troublantes, difficile d’être totalement rationnel. Ou pour le dire autrement, de quoi être parano en ces temps troubles et se demander si ce n’est pas des jeunes payés par un lobby pour foutre le boxon. Bon, je doute que ce soit le cas tel que certains en ont été victimes, vous êtes peut-être plus que deux ou trois personnes à lire ce que j’écris ici (merci pour votre attention), et même si certains utilisent certainement un service pour être au courant de ce qui est écrit sur internet sur tel ou tel propos, je les imagine mal tenter d’intimider de la sorte toutes celles et tous ceux qui les critiquent (ce qui me fait penser au film « Guns Akimbo » avec Daniel Radcliffe). D’autant sans revendications. Et cela a juste l’air d’une « délinquance ordinaire » ciblant une maison parce que non loin de là où ils se réunissent.
Et en tout cas, si j’avais une leçon à en tirer et un conseil à donner pour qui se retrouverait dans ce même genre de circonstances :
– quand vous êtes victime d’une certaine forme d’agression par des jeunes (et aussi des moins jeunes, en fait), ne pas chercher à les intimider dans l’idée que cela pourrait les faire cesser leur connerie ;
– et quand il semble pouvoir être instauré un dialogue, que vous voulez bien faire, que vous voulez éviter de faire condamner des jeunes qui pourraient devenir encore plus délinquants plus tard à cause de cela, il est tentant de se dire qu’il vaut mieux tenter de faire cesser l’agression par soi-même, sauf qu’il vaut mieux ne pas présumer que vous êtes capable de jouer les médiateurs si vous êtes d’un des « camps concernés » ou que vous savez que la moutarde pourrait vous monter au nez, et donc se tourner vers une autre solution. Contacter les autorités ou alerter un collectif de vigilance citoyenne est probablement le plus sage pour ne pas se faire d’ennemis (au sens qu’ils ne sauront pas que c’est vous qui aura porté plainte et à l’origine de leurs soucis quand pris sur le fait, si d’autres maisons ont été visées et qu’ils foutent encore le boxon et consomment de la drogue dans le quartier) ;
Non que je veuille encourager à la lâcheté et la délation, et probablement que des lancers de projectiles de la sorte ne peuvent provoquer des blessures trop graves aux têtes, encore que pour les oiseaux et chat difficile d’être certain, et puis quand même il y avait des cailloux assez gros dans le lot, ainsi que planches de bois et le gros morceau de bouteille de verre aurait pu faire très mal si reçu sur la tête. Mais cela peut être considéré comme une bêtise puis de la provocation qu’ils ou elle ont fait et cela ne mérite pas de se mettre en danger, il y a des causes plus importantes à défendre, et même si l’idée c’est pas tant de se faire justice soi-même, quand un souci et une menace persistent, si ils doivent être réglés, autant que cela le soit par les autorités compétentes en la matière.
Re bref, ils ont tous l’excuse de la jeunesse, il y a peut-être bien une part de méprise et les aînés ont l’excuse de probablement s’être montés la tête à partir de là (ce qui me fait penser à divers faits divers où des gens se sont faits lyncher, tuer à cause de mensonges / intox véhiculés sur des réseaux), mais cela n’excuse pas les projectiles lancés à plusieurs reprises, la mise en danger d’autrui par ces lancers, ni la menace qu’ils m’ont faite quand je suis allé pacifiquement à leur rencontre, et cette mésaventure est pas du genre à réconcilier avec le monde.
Après, la paix intérieure se travaille et pour être cohérent avec ses idéaux, cela me semble important d’être pacifiste d’une certaine façon tout en ne se laissant pas agresser. Alors je vais y « travailler » pour ne plus insulter de la sorte. Si ce n’est que j’espère que la menace de sortir une arme était bien du bluff et qu’ils ne vont pas chercher à me faire la peau avec, si ils en ont une ou décident de s’en procurer une et qu’ils me croisent de nouveau. Et que les ou la fautifs des lancers de projectiles arrêteront, qu’ils cesseront de faire des bêtises.
Re après, quelques jours plus tard, des pierres ont encore été lancés, ma mère a eu le courage et l’art de la diplomatie d’entamer une conversation de manière assez zen en leur demandant si ils avaient besoin d’aide, que si ils s’ennuyaient, ils pourraient aller à la MJC, et cetera, trucs du genre. Il en est ressorti que c’était bien les enfants et non la jeune demoiselle, si ce n’est qu’elle traînait encore avec eux et n’a rien fait pour les empêcher de continuer leurs bêtises (pour sa défense, on pourrait parler de tendance à laisser faire tant que se sent seul pour empêcher les bêtises, à l’exemple d’une dame plus âgée qui a été témoin des lancers, de leur délinquance, qui observait de loin et qui s’est rapprochée et est intervenue que lorsque mon père est allé face à face – pendant que ma mère leur parlait depuis le jardin – leur dire pacifiquement quelques mots, pour le soutenir face à leur insolence). Et à un moment, sans justifier que c’était le mobile de leur lancer du jour, ils (là, ils étaient deux du trio) ont aussi sorti, comme leur camarade absent, le coup d’avoir eu l’impression d’avoir été menacés avec une arme. Elle leur a expliqué qu’ils ont dû prendre l’appareil photo pour une arme, de là où ils étaient. Et question qu’on peut alors se poser : c’est que si ils avaient vraiment eu peur d’avoir été menacés de la sorte, pourquoi continuer de plus belle ? Ils sont si inconscients et / ou délinquants à ce point ? Tels ceux qui ne veulent respecter la décision de la CPI ?
Re re après, en y réfléchissant bien à tête reposée, cela me paraît dérisoire par rapport à des menaces de mort et des dégradations plus frontales et régulières que subissent des personnalités publiques, telle la permanence de Aymeric Caron que des lobbies cherchent à intimider,
et puis rapport à ce que vivent les gens en zone de guerre, ce qu’ont vécu les peuples colonisés, et les victimes du Hamas et ce que vivent les Palestiniens à Gaza et dans les « colonies illégales » où subissent de nombreuses intimidations quand ce n’est pas des expropriations forcées, illégales, voire criminelles. Et puis aussi par rapport aux extinctions d’espèces (pour « tout dire », on en est à un tel stade de gravité au niveau des soucis écologiques et ce qui me semble être une telle inconscience collective de cette gravité, que je suis tenté de cesser d’écrire, toute activité liée aux ordinateurs, pour ne plus participer aux diversions, ce que je ne fais pas en me disant que ce serait encore plus vain que de faire ma part de colibri).
Ah, et je vais faire comme Amélie Poulain qui est un temps superstitieuse, de ce que je me souviens du film, par cette pensée positive ancrée : tout le monde va être gentil, tout le monde va être beau d’esprit, le monde va être de plus en plus conscient des soucis écologiques, de l’urgence pour les océans et la vie qui y est, du besoin de révolution systémique, de l’économie anticapitaliste, de la philosophie végane antispéciste, la Palestine reconnue par tous les pays, fin des guerres dans le monde, fin des écocides.
D’ailleurs, je dirais même plus : tout le monde est déjà gentil, tout le monde est beau d’esprit, le monde est conscient des soucis écologiques, de l’urgence pour les océans et la vie qui y est, de même que pour la terre et les airs, du besoin de révolution systémique, du besoin d’une économie anticapitaliste telle que théorisée par Peter Joseph, du besoin de la philosophie végane antispéciste, l’humanité végétalisant son alimentation, véganisant la civilisation, la Palestine reconnue par tous les pays, fin des guerres dans le monde, fin des écocides.
Et ceci expliqué, pensé et écrit, je termine le message d’aujourd’hui en vous invitant à :
- écouter cette chanson : Remix @Macklemore Hind’s Hill – Code Rouge- Rap Belge : https://www.youtube.com/watch?v=5UlnSKiYJ54
- voir cette vidéo : Le Jugement avec MagiCJacK : https://www.youtube.com/watch?v=NlN4wH3swgU
- et voir : TERRIENS (Earthlings) Narration par Maxime Ginolin : https://www.youtube.com/watch?v=FM_wAN2id58&list=PL9C4E9847954BBFF4&index=12&pp=iAQB
Bonne journée, bonne fin de semaine.