#517
Pascal LamachèrePascal Lamachère
Maître des clés

    Bonjour,

    pour aujourd’hui, je vais essayer d’être assez bref. La fin d’année se profile déjà, et mettant un point d’honneur à offrir du « fait maison », bien que budget limité, je me mets la pression pour faire diverses préparations, et je compte plus en profiter pour vous faire découvrir des recettes véganes si vous ne les connaissez pas encore, me concentrer dessus. Et aussi vous inviter à écouter de ce que j’ai écouté ces derniers jours, connaître, avoir votre avis dessus.

    Avant, vous exprimer du mien, avec aussi des réflexions à exprimer par rapport à d’autres docs’, de ce que j’ai lu et entendu depuis vendredi dernier. Des contradictions à apporter qui m’ont fait repenser en point commun aux divergences entre des thèses selon les soucis considérés, le point de vue depuis lequel il est pensé, et donc aussi le souci de théoriser et avancer des thèses / considérations / interprétations d’études comme assertions alors que relatif à de l’interprétation de données contestable(s), ou que peut se trouver des « inconnus », se réfléchir assez facilement à de ce qui fait voir autrement, un autre prisme quand essaye d’être le plus holistique possible, tente de pratiquer au mieux « l’ignorance éclairée / informée » pour être le plus juste possible. Façon d’aborder les thèses qui m’a fait repenser à la citation lue sur le site https://www.macropk.org/, ou disons citation qui a fait écho, résonance par rapport à cet attachement à la pratique de « l’ignorance éclairée / informée » :

    « C’est une erreur capitale de théoriser avant d’avoir des données. Insensiblement, on commence à déformer les faits pour les adapter aux théories, au lieu d’adapter les théories aux faits. »

    Arthur Conan Doyle, par l’intermédiaire de son personnage Sherlock Holmes

    Bon, je ne dirais pas que c’est une erreur capitale, je serais hypocrite de reprocher le fait de « trop théoriser », je le vois plus comme un éclaircissement d’un auteur à lui-même, ainsi qu’à celles et ceux qui le liront, pour limiter les erreurs quand s’embarque dans des thèses de manière trop théorique, afin de ne pas passer à côté d’éléments importants et de ne pas trop préjuger.

    Et si ce n’est que j’ajoute qu’à mon sens, pour être le plus « juste » possible, faire le moins d’erreurs possibles, être au plus près de la réalité, de la vérité et de la Vérité, il convient, pour certains sujets, de prendre en considération un tout, qu’il ne suffit pas de théoriser à partir de données. Les diverses interprétations – plus ou moins divergentes – d’études scientifiques sont un bon exemple qu’il ne suffit pas de théoriser à partir de données, que parfois il ait fait dire aux données des préjugés du fait « d’inconnus », de données manquantes. Et que donc, en bref, pour être le plus « juste » possible, il convient de contextualiser au mieux, et donc d’en savoir le plus possible, d’être le plus holistique possible. Ce qui est relatif aux connaissances d’une époque, fait que la tâche est complexe, la quête ardue quand des imbrications avec d’autres sujets, tels que concernant les maux de société. Du moins pour passer de la théorie à la pratique.
    Et ce qui fait que bien souvent peut se trouver de quoi répliquer ou relativiser à ce que d’aucuns considèrent de l’ordre de la certitude.

    Pour le dire autrement, c’est de l’effet « oui, mais » évoqué au cours du message du 20 septembre.

    Bref, les objections, contradictions, ou nuances à apporter qui me sont venus à l’esprit concernent les problématiques économiques, politiques, écologiques. Et réflexions, potentielles objections à mes propres objections, par rapport à la stratégie pour concrétiser des idées, des idéaux.

    Et re bref, pour rentrer dans le vif du sujet sans plus m’attarder dans des circonvolutions, pour une considération holistique des problèmes et potentielle(s) solution(s) :

    il me semble important de penser à la fois ce qui est essentiel, les bases, tel que l’importance d’une certaine équité, des inégalités économiques non disproportionnées, et idéalement de l’égalité économique, pour du concret pérenne, et le considérer par un tout, dont les soucis liés.

    Par rapport au souci des inégalités économiques : « Richard Wilkinson : Comment les inégalités économiques nuisent aux sociétés » (vostfr disponibles, sous-titres à activer s’ils ne s’affichent pas, bas droite de la barre de lecture, à gauche du ptit engrenage) : https://www.youtube.com/watch?v=cZ7LzE3u7Bw&list=PL9C4E9847954BBFF4&index=50

    « Inégalités : ce que vous ne saviez pas que vous ne saviez pas » : https://www.youtube.com/watch?v=K3sUJyyX4cg

    Après, si c’est la base, il y a des soucis où il ne suffit pas de lutter contre les inégalités économiques.
    De même que je trouve contestable de parler de démocratie dans un cadre représentatif, sans relativiser en plus en fonction des règles, dont de la constitution, de même en plus sans qu’il y ait de « démocratie économique ». Cf message du 26 avril 2024 et docs’ recommandés pour de la thèse étayée.
    De même que de sensibiliser à du changement par soi, dont à la cause animale, sans évoquer le souci systémique, l’intérêt du véganisme anticapitalisme antispécisme zoopolis.
    De même que parler de soucis écologiques, des effets délétères, sans évoquer le souci systémique, et donc potentielle solution par révolution de système, pour le souci des vies animées et leurs conditions d’existence, l’importance d’un environnement viable de cause à effets.
    De même que parler de « solution systémique » sans penser à l’importance de certains idéaux.

    C’est-à-dire que par exemple, un graphique de l’évolution des inégalités de revenus en France permet de mettre en lumière les effets délétères sur la « justice sociale » d’une idéologie capitaliste néolibérale, particulièrement depuis 2014, mais des égalités relatives dans un système économique pas « économique » en terme de ressources ont certes plus de sens que trop d’inégalités, mais moins que le besoin de révolutionner le système économique, moins que des égalités dans un autre système adapté aux soucis et idéaux. Pour le dire autrement, à moins que plus d’égalités économiques aurait permis au Titanic d’éviter l’iceberg et de couler, c’est pas suffisant pour éviter des catastrophes. Et si on peut imaginer un système par de l’égalité économique orchestré pour en éviter, ce serait parce que si cela en est une des composantes, ce ne serait pas la seule. Et cela me semble d’autant plus flagrant si, par exemple, on considère que pouvoir consommer équitablement du pétrole ne résout pas la crise climatique. Après, on pourrait théoriser que de fil en aiguille, les lobbies qui vont contre l’intérêt général, le bien commun, n’auraient plus d’emprises, de même que cesserait l’utilisation de ce qui est énergivore et pollueur tels les jets privés, mais l’idée est là.

    Et puis à un moment donné, il faut prendre en considération les implications géopolitiques, le souci des inégalités entre pays et leur impact, leurs conséquences. Dans le court métrage « Inégalités : ce que vous ne saviez pas que vous ne saviez pas », est évoqué qu’un des pays les plus inégalitaires est source de renforcement d’inégalités aussi dans d’autres pays, et laisse entendre que le système profite surtout aux ultra-riches, sans rentrer dans le détail des conséquences. Ne serait-ce que par probité, par équité, il conviendrait de résoudre le souci de ces inégalités, mais il me semble que ces captations de « richesses » ont aussi des conséquences, sources de désastres écologiques par surexploitation, système d’obsolescence, et cetera. Réfugiés climatiques et du fait des guerres pour les ressources, qui alimente un business de passeurs et où certains y laissent leur vie en espérant rejoindre une ère plus mieux. Et du fait du mode de fonctionnement de l’économie américaine et probablement du gouffre financier des dépenses militaires, et cetera, ne profite pas tant à la population. Ce qui me semble illustrer l’importance de lutter contre les inégalités aussi entre les pays, ainsi que de penser un système économique qui soit économique, non de la financiarisation avec des objectifs de croissance décorrélés des intérêts réels, où de la décroissance ne serait pas un problème.

    Une vidéo d’un américain qui critique le fonctionnement des USA par rapport à la sécurité sociale puis aux autres services, par rapport à ce que cela leur coûte : « David Cross : Why America Sucks at Everything » (les sous-titres peuvent normalement être traduits automatiquement mais l’option de YouToube bug parfois) : https://www.youtube.com/watch?v=aNghg1Y-WIc

    D’une certaine façon, on pourrait en conclure que les USA, ainsi que d’autres pays, dépensent énormément en budget militaire au détriment de la santé de sa propre population et des populations des pays ciblés, qui profite à des intérêts du lobby du complexe militaro-industriel plutôt qu’un plan d’éradication de la pauvreté par la mise en place d’un système durable, pérenne.

    Cela ne me semble pas trop vulgariser ni populiste de le présenter considérer de la sorte.

    Et si des communautés véganes plus ou moins autonomes et écologiques pratiquant de l’égalité économique n’ont pas sur la conscience d’être source de malheurs pour du monde, ne serait-ce qu’à cause des imbrications environnementales, effets du réchauffement climatique, il y a lieu de se soucier du système du pays et rapport au système mondial.

    Un peu comme le cristallise Julian Beck avec cette citation :

    « Personne n’est libre tant que nous ne sommes pas tous libres, personne ne sera libre tant qu’il y aura des nations et des classes. pour nous dresser les uns conte les autres sans l’amour dont nous rêvons entre-temps. »

    Et Herbert Spencer avec celle-ci :

    « Nul ne peut être tout à fait libre tant que tous ne le sont pas ; nul ne peut être tout à fait heureux tant que tous ne le sont pas. »

    Même si les concepts d’état heureux et de liberté me semblent relatifs in fine, c’est un peu l’idée.

    En argumentaires, cf. des articles déjà partagés, dont de ces deux auteurs qui l’expriment chacun à leur façon :

    Aussi, dans un autre genre de penser à des soucis d’une manière parcellaire à pouvoir en être contestable ou méritant précisions et des compléments, j’ai eu vent d’une étude où des scientifiques auraient argué généralisé que des civilisations technologiquement avancées feraient réchauffer n’importe quelle planète, que toute planète où se développerait une civilisation développant des technologies provoquerait du réchauffement.

    Afin de ne pas faire ce que j’aurais à reprocher, théoriser à trop extrapoler en passant à côté de données pouvant être sue, et tenter de contre-argumenter au mieux de ce que je puis, j’ai fait une petite recherche pour connaître plus en détail l’étude en question, et :

    • je trouve moins contestable d’extrapoler de la sorte, car quand bien même il y a de nombreuses inconnues qui ne peuvent pas être encore sues au jour d’aujourd’hui, de ce que j’ai lu et entendu, me semble bien que diverses solutions technologiques ne sont pas suffisantes de par là (un peu tel que l’explique, de ce que je me souviens, un jeune scientifique dans sa conférence gesticulée sur le réchauffement climatique : https://www.youtube.com/watch?v=ABy73UPkjDE , ainsi que Aurore Stéphant – spécialisée sur le souci des filières minérales – au cours d’un entretien accordé à Thinkerview), que la sobriété, la recherche d’un certain équilibre, de l’harmonie avec l’environnement est le plus viable, le plus sensé ;
    • toutefois, si évidement la surexploitation et pollution liée à des technologies avancées, et croissance continue induite par leur utilisation, ce qu’elles permettent, conduirait en toute logique à de la destruction de la planète, du moins de l’atmosphère pour des conditions viables, et si l’étude ne se mouille pas trop sur le souci / potentielle solution par l’orchestration systémique, c’est plus ou moins induit mais mériterait précisions, et par contre, en tout cas, il manque à ce genre d’étude le problème des secteurs les plus polluants. Certes, passé un certain stade de surexploitation, c’est peut-être des détails secondaires, une sorte de compte d’apothicaire, mais pas quand on contextualise au problème terrestre, à notre époque, avec le souci lié aux activités les plus polluantes alors que dispensables, pourrait et devrait en être autrement, que pourrait organiser l’économie de sorte à de la « justice sociale et éthique » par rapport à ces problèmes.

    Un aperçu pour ce qui est du souci du méthane :
    https://x.com/PCarterClimate/status/1645580255367929856/photo/1 ;

    Et si il est compliqué de théoriser sur ce qui nécessiterait une vue d’ensemble, pluridisciplinaire, avec collectes de données, de matière à penser conséquente, que peut relativiser probablement un grand nombre de thèses selon tel ou tel prisme, tel ou tel angle de considération, j’en reviens à l’importance de penser en prenant en considération les bases, la base pour de la pérennité, donc systémique.

    Aussi, désolé de faire autant de circonvolutions, de digressions, mais cela rejoint aussi le souci des « oui, mais », où y a matière à relativiser façon de considérer les problèmes et solutions : les considérations du style « Sois le changement que tu veux voir dans le monde », « se changer soi / commencer par soi avant d’envisager de changer le monde ». Parce que si c’est un bon premier pas d’être cohérent, d’évoluer en connaissance de causes, qu’on peut toujours faire mieux et plus, aborder autrement un problème pour trouver des solutions auxquelles on aurait pas forcément penser au départ, sans mieux y penser, sans être mieux informé, sans le déclic eurêka, ou que sais-je, c’est éluder le souci systémique. Alors je veux bien démarcher tous les caïds et mafias de France et de Navarre pour tenter de les convaincre de leur intérêt d’une révolution économique, défendre les causes qui me tiennent à cœur, mais in fine, c’est pour un changement de système, de paradigme.

    L’auteure de « Dis, c’est vrai qu’on peut soigner la Terre ? » l’explique très bien à un moment donné, invitant à de l’action en prenant acte des soucis, tout évoquant qu’à un moment donné il faudrait du changement systémique.

    Au passage, ce que j’évoquais par potentielles objections à mes propres objections, par rapport à la stratégie, c’est essentiellement sur / par la politique. Car si je pense qu’il faudrait une remise en question radicale et mise en place d’un système révolutionnaire en prenant acte, et que je trouve à redire à certains discours « progressistes », dans le contexte, ils n’ont pas forcément tort. Et je pense que celles et ceux qui accusent la gauche d’hypocrisie sont juste inconscients des problématiques, de la difficulté d’insuffler le changement nécessaire, le besoin de changement sur le plan politique économique, et manquent de sens des nuances. Et comme l’a évoqué Peter Joseph, l’auteur du livre « The New Human Rights Movement » et du podcast « Revolution Now ! » par rapport aux élections américaines, tout en cherchant à concrétiser une révolution systémique, il est important de contrer ce qui pourrait empirer, de favoriser de ce qui pourrait améliorer du sort ou au moins éviter la voie du fascisme et lutter contre la droitisation qui a lieu dans certains pays.

    Ceci dit, y a le souci des « limites du débat » par le progressisme, pour résoudre des crises civilisationnelles, tel qu’il l’évoque dans cette critique d’un documentaire qui met l’accent sur le souci de la surconsommation sans évoquer le souci systémique, d’idées de révolution de l’économie qui serait au service de l’éthique : https://www.instagram.com/p/DDEH-7LujwW/

    Après, re ceci dit, j’allais l’évoquer comme une autre thématique, surtout autour de l’importance de la qualité de l’information et de lutter contre les propagandes par de l’investigation, mais c’est d’une certaine façon un « oui, mais », ou plutôt un « non, mais » contre de l’erreur capitale, contre les théories de mal-informateur, pour lutter contre de leur propagande, toujours est-il que je presque termine le message de ce jour sur des soucis géopolitiques, pour militer pour de la paix, contre l’esprit va-t-en-guerre, tel que l’évoque et le pratique Michel Collon au cours de cette vidéo :

    « Paix en Ukraine : un désastre ? Clash Collon / B. Johnson » : https://www.youtube.com/watch?v=0w6zrzOXons

    Et cf. d’autres VS et épisodes de l’émission « Le Monde vu d’en Bas » et de Télé Palestine sur : https://www.youtube.com/@michelcollon/videos

    Enfin, je termine le partage de docs’ sur un sujet où y a beaucoup de spéculations, où possible d’objecter des versions thèses par des extrapolations du fait de la part de mystères, mais je pense intéressant, et surtout important de ne pas préjuger, de ne pas théoriser sans s’y être intéressé sérieusement, alors voilou, je vous invite à écouter l’émission « ENLEVÉS PAR DES EXTRATERRESTRES » : https://www.youtube.com/watch?v=tTBeUrOjq00

    Et regarder la série documentaire « Les ailleurs » que je viens tout juste de commencer à regarder : https://www.youtube.com/playlist?list=PLHDk9cWPrG6jXBhMIFiNLCa5sD8JQjjbs

    Et à propos d’ abductions, d’enlèvements, « Le spot de Noël 2024 de PETA France » : https://www.youtube.com/watch?v=obAoS84yW5E

    Et je termine le message de ce jour sur quelques recettes éprouvées, testées et approuvées par des convives, pour une entrée festive. ‘fin, avant, deux recettes de plat principal testées et appréciées récemment :

    J’ai adapté en proportion les ingrédients pour un moule un peu plus grand, et pour la « pâte brisée » végétale, une recette : mélanger 300 g de farine t110 avec 1 c à c de sel, 16 g d’un mélange de graines de sésame et de lin, et 1 c à c de sucre ; puis ajouter 57 g d’huile d’olive et mélanger ; puis environ 120 g d’eau petit à petit, et pétrir suffisamment ; et repos 30 minutes sous torchon humide ou couvercle légèrement humidifié par le dessous.

    Pour ce qui est des recettes de l’entrée festive, c’est diverses tartinades. Cela pourrait être considéré plus de l’ordre l’amuse-bouche apéritif, mais je fais diverses préparations, c’est assez copieux, fait très bien office d’apéritif et d’entrée :

    En précisions : en général, dans les recettes où il est question de mettre de la levure de boulanger dans de l’eau tiède, il est laissé reposé quelques minutes (une 10ène) avant d’ajouter au mélange farineux, et idéalement, eau tiède = température de l’eau aux alentours des 38 °.

    Et au niveau du sucre, du sucre roux peut faire l’affaire, mais sinon, le mieux c’est du type complet / rapadura, ne serait-ce que pour le petit plus niveau goût et santé, si ce n’est que change peut-être pas beaucoup pour cette petite quantité.

    Et en général, je mets environ 50 g de farine de sarrasin et 200 g de farine complète t110, après peut mettre 250 g de la même farine ou varier pour tester.

    • il existe plusieurs variantes de « faux gras », après, le plus important est d’avoir une saveur végétale appréciée, pas tant de se rapprocher le plus du goût de ce qui cause tant de souffrances de canards et d’oies (Journée mondiale anti foie gras : pourquoi existe-t-elle ? : https://www.petafrance.com/actualites/journee-mondiale-anti-foie-gras-pourquoi-existe-t-elle/ ), aussi, il y a des recettes véganes assez simples à faire, sans trop d’ingrédients coûteux (telle qu’une recette de « rillettes de champignons véganes » que j’ai pris l’habitude de faire pour la fin d’année), et celle du livre « Saveurs Vegan » que je fais depuis quelques années à l’occasion du réveillon de Noël n’est à priori pas en ligne, si ce n’est que de la petite recherche que je viens de faire, une blogueuse a publié une recette qui s’en est inspirée : « Foie gras végétal » (où possible de faire avec de la purée de châtaigne faite maison) : https://www.lesbonheurs.fr/2017/12/foie-gras-vegetal.html
    • je fais du caviar végétal : https://vegan-pratique.fr/recettes/caviar-vegetal-saveurs-terre-mer/
      en utilisant à la place de l’eau du bouillon de légumes épicé utilisé pour cuire du seitan pour une recette d’au cours de la semaine ou du plat principal du jour réveillon, et pas besoin de faire une version avec de l’huile de truffe, la version mer fait très bien son effet, suffit.
    • et un tartare d’algues. Normalement c’est à partir d’algues fraîches à dessaler, ce que j’ai dû faire la première fois que je l’avais essayé, ou au moins deux fois depuis que j’ai le livre de recettes véganes, mais peut être fait avec des algues séchées trempées quelques minutes dans de l’eau un peu tiédie, et le résultat est aussi très bon. Pour cette recette, pour l’équivalent d’un pot, il faut 150 g d’algues, normalement 50 de wakamé fraîche, haricots de mer frais et de dulse fraîche. En version à partir d’algues séchées, mis à partir peut-être pour les haricots de mer frais qui peuvent se trouver assez facilement en bocal, vous pouvez remplacer les versions fraîches par des séchées, ou un mélange d’algues séchées, après, à voir suivant le type d’algues. Si je me souviens bien, 10 g de wakamé séché permettent d’obtenir 50 g de wakamé réhydratés (en ajoutant donc 40 g d’eau tiédie), et pour la dulse, il faut genre 15 g d’algues séchées. Vous pouvez faire au feeling, et en tout cas, au final, mixer, jusqu’à obtenir une consistance assez fine, les 150 g d’algues réhydratées, ou 100 g d’algues réhydratées et 50 g de haricots de mer frais, avec 25 g de cornichons, 30 g de câpres égouttées, 23 g de jus de citron, 1 pointe de couteau de zeste de citron, 1 échalote, 100 g d’huile (normalement, c’est 50 g d’huile de chanvre et 50 g d’olive, mais pour ne pas acheter de l’huile de chanvre que pour cette recette, vous pouvez faire avec 50 g d’huile de colza bio ou de noix, ou selon ce que vous avez à disposition, et 50 g d’huile d’olive), quelques brins d’aneth (ou 2 c à c d’aneth séché), 1 grosse pincée de coriandre en poudre et 2 pincées de sel. Une fois la consistance assez fine, verser dans un bocal hermétique et conserver au frais.
    • et du faux-mon fumé. J’ai un très bon souvenir gustatif d’une recette de faux-mon fumé à partir de butternut, mais il me semble que si la recette était assez simple, demande pas mal de sirop et je voudrais pas encourager à manger trop sucré, et puis pas encore retrouvée. Si cela vous intéresse, j’essayerai de mieux chercher, en attendant, celle-ci à base de carottes est aussi assez bonne : « « Saumon » fumé vegan » : https://vegan-pratique.fr/recettes/saumon-fume-vegan/

    Précisions : cela dépend probablement de l’état des carottes et / ou de la matière du récipient, mais je fais cuire 25 minutes plutôt que 15 minutes, à tester ptêtre de votre côté avec d’abord le temps de cuisson indiqué dans la recette.

    • et je fais une « tartinade » végane à base de yaourt de soja pour accompagner les billes végétales et le « faux-mon » fumé sur des morceaux de pain polaire végane sur lesquels ils reposeront avant d’être mangés : dans un bol, mélanger un grand pot de yaourt de soja avec un peu de jus de citron, du sel, du poivre et de la ciboulette finement coupée.

    Voilou pour les recettes de l’apéritif entrée festive.

    Ah, et je viens de voir qu’il est déjà possible de s’inscrire pour le « Veganuary », alors si pas encore fait, « en janvier, faites-vous un mois végan : Le challenge vegan à ne pas rater ! » : https://vegan-pratique.fr/veganuary/

    Merci de votre attention,
    Bonne journée,
    Bonne fin de semaine.