#504
Pascal LamachèrePascal Lamachère
Maître des clés

    Bonjour,

    pour aujourd’hui, je vais vous faire une confidence, un fait que je n’avais jamais confié jusqu’à présent, et qui, sans vouloir faire d’un exemple particulier une généralité, me semble malgré tout refléter de la bêtise de l’humanité en tant qu’un des effets du système capitaliste néolibéral. Et puis de nouveau évoquer du « mystère » de l’ « existence », disserter dessus.

    Avant, j’aimerais brièvement revenir sur cette impression qu’il n’est pas collectivement bien pris acte des problématiques civilisationnels, de sensation d’impuissance collective et ce qui est considéré de l’ordre de la mal-information, de la misère de l’information tel que le critique ACRIMED.

    Vous avez sans doute été mis au courant de l’élargissement du conflit au Liban, êtes désolé et un peu fataliste vis à vis des possibilités de la paix sur Terre, pour réussir à contrer les appétits des complexes militaro-industriels, y mettre fin. Et pris connaissance de la constitution des têtes du nouveau gouvernement et de sa position idéologique que vous considérez critiquable si nous avons des idéaux en commun, à en espérer certainement comme moi qu’ils ne dureront pas, qu’il sera trouvé une issue d’une manière ou d’une autre pour que le « Nouveau Front Populaire » puisse gouverner.
    Au cours de la journée de manifestations, lu un des journalistes évoquer tel un reproche le fait de manifester et critiquer sans attendre de voir qui sera nommé, le genre de réflexion auquel les interviewés ont très bien répondu, mais formulation de la question contestable, reflète une certaine tendance de la part de journalistes, et cela m’a rappelé une quand en 2012 je m’étais joint à des moments d’une semaine événementielle où au cours des réunions manif’ type anar-indignés. Il me semble, et j’en suis même certain du fait du nom « des bâtons dans les urnes », que cela avait commencé avant le jour du deuxième tour des présidentielles, à l’entre deux tours, et probablement fini après. Par contre, je ne suis pas certain si c’était avant ou après que j’avais entendu ce genre de question réflexions. En toute logique le jour même ou à un des lendemains. Toujours est-il qu’il y avait le reproche du genre de ne pas laisser faire ses preuves à l’élu, qu’il fallait attendre, qu’on ne pouvait s’attendre à ce que la plupart comprennent notre démarche, nos revendications. Sauf que si compliqué de mobiliser dans ce genre de circonstances, pas besoin d’être vaticinateur, voyant pour savoir le genre de politique qui va être mise en place, remettre en question un mode de fonctionnement du fait que considéré pas adapté à une certaine « justice sociale » et diverses problématiques, de l’éthique, des idéaux. Et ce qui s’est politiquement passé au cours des mandats, puis ensuite, a donné raison à de ce qui était considéré problématique, à changer. Je pense.

    Aussi, si il me semble que de nos jours, les bonnes raisons à du changement de certaines règles sont nombreuses, et en tout cas du besoin de la prise en compte de diverses problématiques écologiques, et cetera, et de la solution systémique adaptée, que c’est plus clair dans la conscience pour une bonne part, que pouvons-nous faire en tant que peuple ? Comment rendre effective une certaine « sagesse » ? De ce qui devrait aller de soi quand en quête de pérennité des écosystèmes, et cetera. Tel que le véganisme anticapitalisme antispécisme zoopolis ; des idées Bernard Friot et du réseau salariat ou de Peter Joseph sur le plan économique, et des au programme du parti politique fondé par Aymeric Caron, « Révolution Écologique pour le Vivant » : https://revolutionecologiquepourlevivant.fr/programme

    Je veux dire, impression que certains discours ont pris racines, se sont développés de « bouche à oreille », d’écran en écran, plus de gens prêts à, aspirant à généraliser de ces idéaux, mais le pouvoir de remise en question, prise en compte d’idéaux sur le plan systémique, d’une certaine façon encore plus hors de portée. Certes, il y a eu des évolutions individuelles, personnelles, et si ce n’est pas encore le cas sur le plan systémique, pas encore trop d’impact sur des rouages, c’est notamment parce que pour « palier », il n’a pas été tenu compte des urgences civilisationnelles ni du résultat des législatives, qu’il avait mis en place une stratégie par de la droite à cette fin. Mais il y a aussi un « climat politico-médiatique » que je qualifierais de très étrange. Une « dérive » que d’aucuns avaient sociologiquement / par connaissance du mode de fonctionnement de forces prévu, un peu comme théorisé dans l’article « A propos des Dominants », et la résistance a été en France efficace pour que cela ne soit pas encore pire, mais quand même. Considérant tout un chacun, notamment les politiques et les journalistes, d’être des êtres humains qui auraient aussi tout intérêt à ne pas autant faire le jeu du capitalisme néolibéralisme, des guerres, de ne pas sous-estimer les soucis environnementaux, à eux aussi rejoindre les rangs de la « résistance » de gauche, de quoi s’inquiéter et faire des critiques de « mal-informations » tel que le fait l’association ACRIMED : https://www.acrimed.org/

    Ce qui me fait penser que dans un fameux discours où Hillary Clinton a « avoué » le financement de groupes qui se sont retournés contre eux : https://www.youtube.com/watch?v=4nF81eYsokA

    à un moment donné, elle avait évoqué le fait qu’ils perdaient la « guerre de l’information » / propagande. Et si avec des journalistes lanceurs d’alertes comme Julian Assange et des lanceurs d’alertes comme Edward Snowden, on en sait plus sans doutes, que du gouvernement Clinton a perdu des batailles de l’information, elle n’est pas terminée, pas plus qu’idéologiquement, sur le plan des idées, des idéaux, des problématiques et potentielle solutions.

    Et il me semble que la confidence, l’anecdote que je voulais vous raconter, que je vais vous raconter, reflète certaines difficultés du point de vous psychologique. Sans vouloir considérer que tout le monde fonctionnement de la même façon.

    Bref, j’en fais tout un mystère, mais la confidence n’a rien de bien particulière, l’anecdote que tout le monde – sauf moi en tant que principal concerné conscient/inconscient – ignorais jusqu’à présent, y compris vous, à moins que vous soyez médium, adepte du voyage astral ou pirate, reflète surtout de ma bêtise d’en avoir fait une confidence : il y plus d’un an, certainement début août de l’année dernière, quelques jours avant le mariage de mon frère aîné Stéphane avec sa compagne, ma belle sœur Nathalie, le soir, en allant pour fermer les volets de ma chambre, ayant du mal à atteindre le sorte de loquet de celui de gauche, je prends bêtement un peu de recul et saute plus ou moins en avant, et je m’affale avec la force de l’élan et du poids de mon corps sur le rebord de la fenêtre, dont le cadre, le rebord contondant forme une arrête, une barre suffisamment surélevée et fine pour que « l’atterrissage » ne se fasse pas en « douceur », que tout le choc se concentre sur une zone de l’abdomen, en l’occurrence une ou deux côtes. Aussi, ce n’est pas une grosse chute, mais les circonstances, la façon d’y atterrir et le « terrain » font que la ou les côtes ont été fortement impactées, quand bien même mes abdominaux se sont tendus par réflexe (encore que, ptêtre après que le mal eût été fait). Au point de probablement provoquer une fêlure ou fracture. Le genre de blessure intérieure où il convient d’aller consulter. Et au minimum se reposer suffisamment, ne pas forcer tant que persiste de la fragilité des côtes. Ce que je n’ai pas fait. Je ne me suis pas ménagé. J’ai continué ma « routine sportive » entamée quelques temps avant l’ère covid 19. ‘fin, le lendemain ou quelques jours plus tard, j’ai un doute sur le déroulé, sur le jour où a commencé le « bobo aux côtes », j’ai failli prendre un peu de repos plutôt que d’aller faire un footing de plus de 45 minutes, ce qui aurait pu être le début d’une convalescence pour une guérison complète ou tout du moins un jour de repos qui m’aurait permis de ne pas aggraver le mal ou d’avoir moins mal (j’ai eu super mal pendant le footing, au point que j’ai failli avoir la sagesse d’arrêter pour rentrer sans forcer).

    Au passage, le pourquoi j’ai failli prendre un peu de repos est lié à une sorte d’autre anecdote « plus ou moins vraiment mystérieuse » que je vous évoquerai ci-après.

    Avant, pour terminer autour de cette bête histoire de blessures et non soin aux côtes, de non ménagement et réflexions parallèle que je fais avec « de la bêtise de l’humanité en tant qu’un des effets du système capitaliste néolibéral » : ne voulant pas aller consulter, n’ayant pas l’élan de prendre soin de moi, j’ai fait comme si de rien n’était auprès de mes proches, et puis la fêlure / blessure était suffisamment gênante pour m’empêcher de dormir sur le côté gauche mais ne devait pas être trop importante pour que je ne puisse pas guérir un peu, petit à petit, même sans bien me ménager. Et je ne saurais dire si j’étais plus ou moins guéri, si c’est parce que à un moment donné j’ai eu un autre choc sur la zone, mais je me souviens avoir eu de nouveau un peu mal il y a quelques mois, comme si la douleur avait cessé sur au moins quelques semaines. Pas inquiétant outre mesure, pas signe d’une fracture aggravée à priori. D’ailleurs, au cours d’un footing, un jour de la première 15 ène du mois de mai, il me semble, j’avais bêtement trébuché et en cherchant à retrouver l’équilibre, accéléré et retrébuché sur un creux de voie un peu cabossée, je m’étais assez violemment ramassé au sol, fait ricoché du fait de l’accélération prise avant et du chemin terreux avec graviers. Et si j’ai eu les paumes des mains – ayant servies à amortir – écorchées jusqu’à la chair, et le torse « lacéré » avec pas mal de blessures, bosse sur côté de la tête et un peu de bleu sur une épaule, mes os ont tenu bon, autant des poignets que du buste et côtes, mon souci aux côtes de gauche ne m’avait pas semblé s’en être aggravé, j’ai pu soigner mes plaies externes avec des pansements. Et si j’ai toujours une petite douleur lancinante au niveau de la côte / des côtes, qu’il faudrait probablement que je me repose un peu pendant quelques jours à ne pas faire de sport, voilou pour la confidence.

    Alors concernant les réflexions, le parallèle que je fais avec « de la bêtise de l’humanité en tant qu’un des effets du système capitaliste néolibéral », ce que je considère comme tel : j’imagine que si vous avez un souci de santé type grippe, vous n’iriez pas forcément consulter, mais un souci type fêlure voire fracture, il est du bon sens d’aller consulter, et vous auriez au moins observé des jours, voire semaines de repos niveau certains efforts ; que c’est le cas de quasi tout le monde ; que comme quasi tout le monde, vous n’auriez pas laissé traîner si vous ressentiez un mal lancinant ; que vous devez me trouver un peu beaucoup couillon, irresponsable envers moi-même, inconscient à m’empêtrer dans une forme d’autosabotage, que c’est dommage de supporter de la sorte du mal ? N’est-ce pas ? Sauf que, qu’avons-nous fait, que faisons-nous en tant que civilisation ? Qu’infligeons-nous à la nature, à notre humanité, aux autres êtres vivants ? Que faisons-nous pour les urgences environnementales, civilisationnelles ? Cela va faire près de 60 ans, et même bien avant, qu’il avait été planché et alerté sur le souci du réchauffement climatique, des conséquences de l’ère de la combustion des énergies fossiles et du Capitalocène, et cetera. La sixième extinction de masse considérée amorcée, des extinctions d’espèces ; des populations les moins pollueuses impactées ; des morts liés à des intérêts consuméristes tels qu’en République démocratique du Congo pour l’exploitation du coltan ; des morts par guerres où les voix de la paix se sentent pas mal impuissantes pour le moment, de l’humanité et d’autres formes de vie malmenées, trucidées alors qu’il pourrait être protégé, pris soin. Et qu’avons-nous fait, que faisons-nous, que faites-vous individuellement, et surtout collectivement, sur le plan systémique ? N’est-ce pas comme si nous avions laissé traîner, de la poussière sous le tapis, à remettre aux calendes grecques ce qu’il faudrait faire pour que la civilisation ne soit pas comme le Titanic face à l’Iceberg ? En espérant que cela s’arrangerait comme par magie, voire en renforçant du péril, du mal, de la « maladie » ?

    Et à propos de maladie, l’origine de la covid 19 a fait et fait toujours l’objet de tout un tas de spéculations, et le « dossier vaccination » une autre thématique déjà un peu abordée au cours de messages, mais les virus sont étudiés pour une « bonne raison », les zoonoses une réalité, le risque de « pandémies naturelles » réelles, il y en a eu, et si de ce côté on ne peut pas dire que rien n’a été fait pour s’appliquer à des soins, par de la « solution », la gestion de la pandémie par de nombreux gouvernements est critiquée, nous aurions peut-être pu éviter d’en arriver là, d’être une « planète malade », et ce n’est pas fini si nous continuons à ne pas prendre acte du cause à effets.

    Quelques articles et docs à ce propos :

    Aussi, je dirais pas que c’est forcément pour cela, mais si je devais psychanalyser, analyser ma « bêtise », je dirais que c’est parce que je ressens un mal être civilisationnel qui n’est pas du fait d’une déprime personnelle ; qu’en ne m’accordant pas le repos pour avoir une chance d’une totale guérison, mon corps se retrouve ainsi solidaire de « l’esprit de l’ère du temps » avec ses soucis collectifs. Et que si cela pourrait être considéré comme une forme d’« orgueil mal placé », que c’est un « mal civilisationnel » de ne pas s’appliquer à des solutions, à plus ou moins continuer comme si de rien été, à prétendre à une « stabilité », un « statu-quo » par un système qui égrène pourtant clairement dans son essence ; en a pas les bases, pas les fondations ni les murs, ni les rouages ; et donc pas le mode de fonctionnement le permettant, prévu pour.

    Bref, je dirais bien que ce qui n’arrange pas la situation mondiale, dont au Moyen-Orient, c’est aussi la volonté de la part de certains de provoquer l’avènement d’une Apocalypse, tel qu’évoqué dans le documentaire « Prier pour l’Apocalypse », mais est-ce une « bonne excuse » pour ne pas tenter qu’il en soit autrement, de la part de la plupart qui ne croient pas leur croyance et / ou voudraient l’éviter ? Certes, beaucoup de monde ignorent peut-être de leurs plans, le considérerait peut-être de l’ordre du « complotisme » si pas pris le temps de regarder le documentaire ou de s’informer sur la réalité de cette ambition par le courant religieux impliqué, mais bon.

    Ceci dit, déjà évoqué des thèses sur des soucis et des idées pour de la solution systémique, après, en même temps, on pourrait considérer l’importance d’une quête de prises de conscience et de « Vérité » et les limites de la connaissance depuis notre point de vue d’être incarné, et ainsi de plancher sur de la métaphysique, de tenter de faire de la lumière sur des mystères, pour tenter d’y contribuer, d’éviter du « pas glop » et de tenter de contribuer à un mieux être collectif, un paradigme qui en favoriserait l’avènement sans apocalypse délétère.

    Alors je n’ai pas encore tellement potassé le dossier du « paranormal » et de certains « mystères », et surtout, à force de m’intéresser à tout un tas de thèses et sujets, j’en ai oublié l’essence de certaines. Il faudrait que je me plonge ou replonge sérieusement dessus.

    Toujours est-il que pour le moment, sans avoir la prétention de traiter parfaitement le « sujet », envie d’évoquer des thèses, du « mystère de l’existence ».

    Et à propos de mystère, ma « rationalité » fait que j’y considérerais une explication « ordinaire », néanmoins je qualifierais d’étrangeté, de « drôle de synchronicité » ce que j’ai évoqué tout à l’heure, l’ anecdote « plus ou moins vraiment mystérieuse » où j’ai failli prendre un peu de repos plutôt que d’aller faire un footing.

    Le contexte de « l’étrange synchronicité » : je ne me souviens pas exactement de tout, si ce n’est que du fait que je devais laisser ma chambre à mes neveux qui allaient venir avec leurs parents passer le week-end, et moi dormir dans la salle d’ordinateur, plutôt que d’y déplacer tout de ce qui pourrait les tenter ou de ce de j’aurais besoin à un moment ou un autre, en fin de matinée j’avais fermé la porte de l’armoire après avoir déménagé mon lit, et cetera. Et venu le moment de faire le footing, je réalise que j’avais mis mon short des précédents jours dans le bac à linges sales et oublié de mettre de côté un propre (ma routine « sportive » de la semaine consistait alors à faire du vélo d’appartement 6 jours sur 7 et footing le vendredi, en général entre 12 h et 14 h, et je changeais de short, mis que pour ces séances, tous les 3 à 4 jours), et je m’en vais donc essayer de rouvrir l’armoire pour en prendre un. Sauf que je n’y arrive pas, le mécanisme est « coincé », j’en casse la clef, dont une partie reste dans la serrure et ne veut plus ressortir. A ce moment, étant seul à la maison, ne voyant sur l’instant pas le moyen d’ouvrir proprement la porte sans arracher / casser une partie du mécanisme, plutôt que de baisser les bras et de me reposer, je vais prendre et mettre le short du le bac à linges sales et faire mon footing au cours duquel mon mal aux côtes du côté gauche se renforce un peu.

    Raconté de la sorte, si il y a « synchronicité », de quoi le considérer comme une simple coïncidence ou disons simple concordance. Car même si il m’est déjà arrivé de fermer l’armoire vieillissante, on pourrait le considérer juste comme suite à de l’usure et / ou le fait que ce jour-là, avec mon mal aux côtes, j’ai fermé de manière différente que d’habitude l’armoire, que la cassure du mécanisme ce jour-là est lié à une brusquerie de ma part, liée au fait que je n’étais pas au mieux de ma forme.

    Si ce n’est que si je ne crois pas particulièrement aux anges gardiens, et que ma raison me fait retenir la version « rationnelle », que c’est à cause de « mouvements » hors de l’ordinaire du fait d’une humeur particulière, ma part « rationnelle » me pousse aussi à considérer la part de doute, d’incertitude, d’autant que ce n’est pas la première fois que je suis témoin de « phénomènes aux frontières de l’extraordinaire / du mystère ». Et que je n’ai pas l’impression d’avoir brusqué du mécanisme.

    Aussi, et si en tout cas, je n’étais pas disposé à ce moment à écouter les signes de mon corps ni ce qui aurait pu être considéré comme un encouragement à ne pas aller faire de footing, à posteriori je me dis que j’aurais dû me reposer, que cela pourrait être considéré comme un « signe de l’univers » ou de mon « inconscience / conscience transcendantale / latente » à cette fin.

    En autre « phénomène aux frontières de l’extraordinaire / du mystère », il y a quelques années, quelques mois après le décès de ma grand-mère maternelle si je me souviens bien, je cherche en vain pendant une bonne dizaine de minutes la clé de la boîte aux lettres. Ne la trouvant pas, je vaque de nouveau à mes occupations, puis je me mets à faire une séance de vélo d’appartement. À un moment donné, j’entends un petit meuble vibrer, trembler, je cesse de pédaler et en me tournant, instinctivement / inconsciemment / sans intention de recherche, mes yeux se posent vers zone du dessous où je vois la clef que je cherchais. Et si cela pourrait être considéré comme une drôle de synchronicité, une coïncidence, au sens que le tremblement du meuble aurait pu venir du chat Gribouille se grattant l’oreille contre, à l’en faire vibrer, il n’était pas à cet endroit. Du moins pas quand j’ai tourné la tête. Reste que même si je ne l’avais pas vu à cet endroit au moment où j’ai commencé ma séance de sport, ni pendant, ni après, je n’exclus pas la possibilité qu’il ait vite bougé, qu’il se soit gratté l’oreille ou de son torse à un moment donné et fait trembler le meuble. D’ailleurs, même si cela n’était jamais arrivé et plus arrivé ensuite, me semble bien, c’est la version qui semble la plus plausible. Si ce n’est part de doute, d’incertitudes, d’autant que je suis quasi certain qu’il n’était pas à cet endroit pendant ce moment-là.

    Et puis assez récemment, il y a aussi l’étrange son de craquement de bois, comme si une personne tentait de marcher à pas feutrés sur un plancher grinçant, qui est audible sur la petite vidéo « asmr » à la guitare acoustique que j’avais enregistrée il y a quelques mois et évoqué au cours du message du 23 août.

    Bon, vous me direz, ou pas, à chaque fois, dans ces cas évoqués, peut se trouver une explication rationnelle, si ce n’est surtout de l’ordre de l’extrapolation pour ces deux derniers cas. Et surtout, cela pourrait être considéré comme des anecdotes anecdotiques. Et si il existait / existe des sortes d’anges gardiens, des entités « invisibles » depuis notre « plan incarné », pouvant avoir une relative interaction avec nous / notre plan d’existence, les dimensions de notre univers, si c’est pour nous aider à r-éveiller de notre conscience, à « s’améliorer » d’une manière ou d’une autre, ou à devenir nous-même au sens d’incarner notre pleine potentialité, jusqu’à (l’)être absolu, et surtout nous accompagner au cours de notre existence terrestre en participant dans une certaine mesure du bien personnel et collectif, leurs interactions ne seraient pas tant anecdotiques, et le monde s’en porterait probablement mieux, et on ne serait pas dans une dynamique de sixième extinction de masse.

    Sauf que les « règles de notre monde », le mode de fonctionnement complexifie peut-être les possibilités d’interactions, et si, en ce qui me concerne, il ne m’est pas arrivé, de ce que je me souviens, des trucs plus étranges, encore que me viennent à l’esprit au moins deux autres « étrangetés » et quelques autres « drôles de synchronicités », qui sait si ils n’interagissent pas plus au moment de nos rêves, où notre esprit leur serait plus facilement « joignable », pourrait plus facilement les « entendre » ? Dans ce cas, même si je me suis rarement bien souvenu de mes rêves, j’en ai fait des « épiques », et certains qui pourraient être considérés prémonitoires, et j’imagine vous aussi.

    Et puis surtout, si en dehors du monde des rêves et de sensations prémonitoires, il ne m’est pas arrivé des événements qui défient plus la « rationalité », pour d’autres, il semblerait que si, l’histoire de l’humanité est riche « d’étrangetés » et de « mystères ». On peut ne pas y croire, être sceptique, chercher des explications rationnelles, mais cela ne me semble pas obscurantiste de considérer de la réalité du « mystère », qu’on en aurait à en apprendre.

    Encore que, je dirais que pourrait y avoir danger de s’en remettre à de l’augure, à s’aliéner à des mystères, d’autant quand les interprétations sont relatives, incertaines, que plusieurs peuvent être « plausibles ».

    Je pense notamment à ce qui est considéré de l’ordre des « signes », des synchronicités. Et le fait que de leurs adeptes mettent d’ailleurs en garde à ne pas chercher à trop interpréter, à éviter de surinterpréter et de ne pas faire des choix, prendre des décisions, des actions en fonction de ce qui serait considéré être de ceux-ci, de ce qu’on pense en avoir compris, selon la façon dont on les interprète.

    Au passage, à propos de synchronicités, il faudrait que je me rafraîchisse la mémoire et que j’étudie plus le sujet, mais si pas encore consulté le site, vous avez diverses thèses variantes de la « théorie de la double causalité » qui théorise du « pourquoi du comment » de « synchronicités », divers articles et conférences publiés sur le site dédié que j’ai déjà évoqué au cours de messages : https://www.doublecause.net

    Et cela peut vous paraître perché, mais si vous y réfléchissez, le « danger de s’en remettre à de l’augure, à s’aliéner à des mystères », cela me semble bien qualifier ce dans quoi s’embarquent et nous embarquent celles et ceux qui cherchent à provoquer l’Apocalypse, de participer à ce qui serait l’accélération de son avènement, sont (in)consciemment au service de ce qu’elles et ils espèrent être une « prophétie apocalyptique ».

    Ce qui me fait penser qu’en ce qui concerne le « domaine » de la foi, des croyances, de la spiritualité, j’aurais tendance à me définir comme un « agnostique qui croit en quelque chose qui nous dépasse » ; que dommage les guerres de religion ; que dommage l’anthropocentrisme, le spécisme et sacrifices d’animaux que d’aucuns ont cherché à séculariser alors que serait pas tant dans l’essence ciel des textes dits sacrés ; que de quoi les remettre en question (le spécisme et sacrifices d’animaux) à en être végan antispéciste du fait de certaines « subtilités » ; que comme écrit dans la « Lettre à toutes et tous » du 5 septembre 2024 :

    « tant que ne seront pas posées les bases pour un paradigme pérenne autant que faire se peut, vous n’aurez pas fait ce qu’il faudrait, nous et vous n’aurons rien fait »

    que si ce serait d’abord « pratique » avant d’être « spirituel », la spiritualité ne serait pas tant à négliger. Au moins par curiosité intellectuelle à chercher à en comprendre le plus possible.

    Je veux dire, sans adhérer à une religion en particulier, si je puis comprendre, du fait des soucis quotidiens, ainsi que du fait des périls civilisationnels, et cetera, que d’aucuns considèrent que croire ou ne pas croire en l’existence d’un dieu n’aurait aucune importance, sont adeptes de ce qui est de l’apathéisme, je pense intéressant de ne serait-ce que s’intéresser à l’essence du gnosticisme et chercher à en savoir le plus possible sur du « mystère de l’existence ».

    Et certes, cela pourrait être considéré de l’ordre de la « science fondamentale » sans possibilité d’applications pratiques contre les vicissitudes, les problèmes rencontrés au cours de l’existence incarnée, mais qui sait ? Ne serait-ce que parce que ce ne serait pas sans conséquences sur notre façon de voir l’existence, et de cause à effets pourrait participer à faire prendre conscience de certaines erreurs systémiques, certaines inconsciences, le besoin de révolution paradigmatique anticapitaliste, végane, antispéciste. Peut-être dispensable à cette fin, mais qui sait ?

    Et certes, il y aurait des urgences à régler, de la paix à tenter d’instaurer, à concrétiser, du souci à solutionner pour les Libanais, les Palestiniens, et cetera.

    Mais bon, voilou. Et si vous vous dites qu’il faut pouvoir trouver le temps de s’y intéresser, dites-vous que de très nombreuses heures de vidéos ont été produites par des « zététiciens », des livres écrits et potassés, alors qu’ils ont surtout utilisé une certaine « logique », une « approche rationnelle » mais plus par « extrapolations rhétoriques / d’une logique de doxa » sans forcément s’intéresser aux études, faire les études nécessaires, et cetera. Limites, voire vraiment à faire ce qu’ils reprochent par préjugés : de la pseudo-science, du « charlatanisme de la pensée ».

    Aussi, c’est le genre de domaine où je rêve qu’un « cerveau collectif », qu’une mise en commun des « attentions éclairées et éclairantes » se fasse au nom d’une quête de vérité et non pas se donner des airs de rationalité par dogmatisme « ignorant ce qu’ils ignorent », ignorant des remises en question valables de ce qui est plus de l’ordre d’opinions individuelles basées sur des considérations interprétations théoriques / des « postures philosophiques » sans chercher finalement à en savoir plus, à s’y intéresser plus, à approfondir plus, que des études de « phénomènes factuels » où se cherche à en savoir et comprendre le plus possible. Et j’en veux particulièrement à celles et ceux qui se disent adeptes de la zététique, de « l’esprit critique » et de sa « méthodologie » sur ce genre de sujet. Car je pense que si ils cherchaient à être à la hauteur de leur prétention, ne cherchaient pas tant à jouer à se donner un genre, à se croire plus futés qu’ils et elles ne le sont à mon sens, ils pourraient vraiment faire avancer, participer à faire des bonds de géant à l’érudition, à la conscience, au chemin vers de la vérité de l’humanité, à mieux comprendre de « la nature du monde ».

    Bref, je suis certainement trop dur sur ce coup, de l’histoire des phénomènes étranges et extraordinaires est faite de pas mal de canulars, mais à force de lire des « thèses » de « zététiciens » où je considère trouver à y redire, c’est un peu l’opinion que je m’en suis faite, et ceci précisé, j’ai décidé de déserter les réseaux de Musk et de Zuckerberg, de ne plus trop consulter ce qui s’y publie, mais je ne connais pas encore d’autre groupe où se prend au sérieux les études sur des « mystères » tout en cultivant ce que je considère être de la « vraie rationalité », ayant une certaine érudition dessus, aussi, si vous n’avez pas encore trop pris le temps pour sur ce genre de sujet, pour vous faire votre propre opinion, je vous invite de nouveau à vous informer via les publications du groupe : « Paranormal, hantises et expériences extraordinaires (ExE) liées au PSI » : https://www.facebook.com/groups/1192040898138293

    Dont consulter cette publication qui me semble très bien cristalliser de ce qui peut être reproché à de celles et ceux qui se vendent comme « zététicien » : https://www.facebook.com/groups/1192040898138293/?multi_permalinks=1473899693285744

    Et j’avais arrêté depuis quelques temps de m’y intéresser, pour diverses raisons, dont pour me concentrer sur la militance pour la cause animale, le véganisme anticapitalisme antispécisme zoopolis, et les urgences environnementales ; et « pour tout dire » c’est un peu parce qu’ils m’ont semblé sous-estimer et mal-traiter l’importance du véganisme anticapitalisme antispécisme que j’avais décidé de ne plus m’y intéresser un temps ; et il ne s’agit pas tant d’étudier tel qu’il me semble qu’il faudrait ; mais il est parfois évoqué des « thèses plausibles » et parfois il est donné la parole à certaines et certains qui cherchent à « démêler ce qui peut être su », le « vrai » des « extrapolations » ; et puis vous trouverez des témoignages sur des phénomènes très étranges, « mystérieux », du paranormal, certes souvent par prismes subjectifs sans preuves rapportées / montrées où difficile de croire sur parole si vous êtes comme saint Thomas, mais qui laissent songeur, me semblent mériter d’être en général envisagés comme crédibles plutôt que « balayer / mépriser » par principe d’une « idéologie de prétendue / soi-disante rationalité » ; aussi, je vous invite aussi à écouter, à regarder des vidéos publiées sur et par le média « BTLV » : https://www.youtube.com/@btlv-contact

    Merci de votre attention,
    Bonne journée,
    Bonnes écoutes, bons visionnages, bonnes études,
    Bonne fin de semaine.